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Bernard Landry souhaite le déclenchement d'élections générales au Québec (2005-Fév-13)
         TROIS-RIVIERES (PC) - Le premier ministre Jean Charest poserait "un geste civique" en déclenchant sans tarder des élections générales, croit le chef de l'opposition péquiste Bernard Landry. "S'il réfléchit profondément, M. Charest verra que c'est pour lui un geste civique de déclencher des élections. Après moins de deux ans, il est à 70 pour cent dans le taux d'insatisfaction", a expliqué samedi le leader du Parti québécois, en marge de la réunion du Conseil national de la formation politique qu'il dirige. M. Landry a rappelé que le gouvernement Charest a "créé le désarroi" dans toutes les couches de la société québécoise, notamment chez les gens d'affaires, les chercheurs, les syndiqués et les étudiants. "Il va falloir qu'il regarde cela dans son âme et conscience", croit le leader péquiste.
         Entretemps, le Parti québécois se prépare activement à un scrutin général. Il tiendra un congrès en juin pour régler la question du leadership et se doter d'un programme qu'il veut moderne. De plus, le député de Rousseau François Legault prépare un document sur les finances publiques dans un Québec souverain. Il ne s'agira pas toutefois d'un "Budget de l'an 1", comme le Parti québécois en avait présenté un lors des élections de 1973.
         Un budget se prépare sur des données concrètes comme le taux de croissance économique ou le taux de chômage, a expliqué M. Landry. Il ne s'agira pas non plus d'un cadre financier, comme les Libéraux en ont présenté un pour l'élection d'avril 2003. Ce terme de "cadre financier" a été dévalorisé par l'usage qu'en ont fait les Libéraux, tout comme d'ailleurs l'expression "Nous sommes prêts", juge le chef de l'opposition. "Dans les cégeps, l'expression 'Nous sommes prêts' est utilisée pour dire que ça va prendre trois mois", a ironisé M. Landry en parodiant le slogan libéral de la dernière campagne électorale.
         Une victoire du PQ lors du prochain scrutin signifiera aussi la tenue d'un référendum sur la souveraineté du Québec "le plus tôt possible dans le mandat", a rappelé M. Landry. Enfin, M. Landry n'a pas spéculé sur la proportion d'appuis qu'il juge nécessaire pour conserver son poste au congrès du parti, en juin prochain. L'appui obtenu sera jugé à partir "des statuts et des traditions du parti", a-t-il déclaré. Rappelons qu'en 1971, le chef fondateur du Parti québécois, René Lévesque, avait été reconduit à la présidence du parti avec 80 pour cent des voix dans une course au leadership où son concurrent, André Larocque, avait obtenu 20 pour cent d'appuis. En 1996, le chef Lucien Bouchard avait obtenu 76 pour cent d'appui et était demeuré en poste, non sans maugréer quelque peu. Enfin, en 1990, Jacques Parizeau avait reçu l'appui de 92 pour cent des militants du parti. (CP/Jacques Boissinot)

Les chercheurs surestimeraient les effets néfastes du réchauffement du climat (2005-Fév-11)
         OTTAWA (PC) - Une nouvelle étude menée par un chercheur de l'Université Guelph, en Ontario, conclut que les experts surestiment les effets néfastes du réchauffement de la planète. Dans son rapport, le professeur John Klironomos remet en question l'hypothèse générale qu'une augmentation des niveaux d'oxyde de carbone éliminera des plantes et spécimens de l'écosystème. Au lieu d'exposer des plantes à des niveaux de pollution qui seront atteints dans 100 ans, il a effectué ses analyses en se basant sur une exposition graduelle, pendant six ans. Il a découvert que la plupart des espèces s'adaptent aux conditions, et y survivent. Ce rapport va dans le même sens qu'une plainte déposée hier par un organisme de Calgary, auprès du Comité sur l'Environnement à la Chambre des communes.
         Selon Charles Simpson, le débat sur le protocole de Kyoto, à Ottawa, ne tiendrait compte que d'un seul point de vue. Plusieurs chercheurs en auraient été délibérément exclus. Il craint ainsi que le Canada gaspille des milliards de dollars en tentant uniquement de réduire les émissions d'oxyde de carbone. [Sympatico.Msn.Ca]

Citoyen Canadien, Citoyen Du Monde ? (2005-Fév-06)
Martin confie la révision de la politique étrangère à une prof d'Oxford
         OTTAWA (PC) - Insatisfait de la révision de la politique étrangère du Canada effectuée par son gouvernement, le premier ministre Paul Martin a mandaté une professeure de l'Université d'Oxford pour injecter dans cette politique une nouvelle vision d'ensemble. La Presse Canadienne a appris que M. Martin a conclu, après avoir pris connaissance d'une série de documents maison, que l'exercice n'avait pas donné les résultats escomptés, soit une politique avec une vision originale et adaptée.
         La tâche a été confiée sous contrat le mois dernier à Jennifer Welsh, une boursière de la fondation Rhodes, originaire de la Saskatchewan, qui vit au Royaume-Uni depuis cinq ans et enseigne les relations internationale à la célèbre université britannique, a révélé une source proche de M. Martin. L'expatriée est connue dans le milieu des relations internationales pour son concept de "citoyen modèle".
         "L'idée du citoyen modèle, si vous permettez que je glisse un mot à ce sujet, écrit-elle dans une discussion en ligne sur le site Internet du ministère canadien des Affaires étrangères, vient en réalité de la vision selon laquelle la scène internationale est constituée d'une collectivité de citoyens. "Et du fait que le Canada agira rarement seul ou indépendamment du reste du monde, qu'il s'associera à d'autres - un peu comme le ferait un citoyen modèle. J'ai donc essayé de bien faire passer cette idée dans mon livre, c'est-à-dire de faire en sorte qu'on envisage le Canada du point de vue de la citoyenneté et du modèle qu'il présente au monde."
         Elle a dit avoir proposé ce concept de citoyen modèle parce qu'elle était de plus en plus frustrée par l'idée que le Canada n'était qu'une moyenne puissance parmi d'autres. "Je suis de plus en plus persuadée qu'un aspect primordial de la politique étrangère du Canada se résume simplement à ce qu'est le pays, un modèle hautement efficace de démocratie libérale." Son livre "At Home in the World: Canada's Global Vision for the 21st Century" a été lu par le premier ministre Martin et son ministre des Affaires étrangères, Pierre Pettigrew. Dans ce livre, Mme Welsh encourage les Canadiens à mettre de côté leur façon de voir leurs relations avec les Etats-Unis et le reste du monde. Selon elle, le Canada doit cesser de se définir par rapport aux Etats-Unis. Cette pensée n'a mené qu'à des politiques proaméricaines ou antiaméricaines qui ont nui aux intérêts du pays.
         Mme Welsh est également en faveur d'un investissement dans les forces armées qui, selon elle, ont un rôle crucial dans la politique étrangère canadienne. Le Canada n'a pas révisé sa politique internationale depuis 1995, peu de temps après la fin de la Guerre froide.                   [Sympatico.Msn.Ca]

Bill Gates introduit le nouveau moteur de recherche MSN (2005-Fév-02)

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Les Canadiens irakiens votent (2005-Jan-28)
Dans 5 bureaux de scrutin à travers le Canada
         TORONTO (PC) - Environ 11 000 Canadiens irakiens ont commencé à voter, vendredi, dans cinq bureaux de scrutin à travers le Canada, participant ainsi à la première élection démocratique à se tenir dans leur pays d'origine depuis 50 ans. Hani Al-Ubeady, qui a quitté l'Irak il y a 15 ans alors que le dictateur Saddam Hussein était toujours au pouvoir, a fait le voyage en avion de Winnipeg jusqu'à Toronto pour déposer son bulletin de vote. "Il n'y a pas de mot pour décrire ça, a déclaré l'homme originaire de Bassorah, en parlant de son expérience. Ce n'est pas seulement important - c'est un moment historique auquel nous devons prêter attention et c'est le début de ce qui fera une grosse différence dans l'histoire irakienne."
         L'affluence était constante au bureau de scrutin, situé dans un ancien studio de cinéma, où M. Al-Ubeady a voté. En tout, trois bureaux se trouvent à Toronto et deux autres sont ouverts à Ottawa et Calgary. Khalil Amin, un Kurde qui a immigré à Toronto il y a 30 ans, a longtemps cru qu'il ne vivrait jamais pareil moment. "Nous avons subi le régime de Saddam pendant tellement longtemps, a dit l'homme originaire de Kirkuk. Nous avons subi l'oppression pendant tellement longtemps. Les gens veulent en finir avec cette agonie et cette tyrannie." Des familles et les amis s'embrassaient au bureau de scrutin, où les électeurs devaient choisir entre plus de 7000 candidats.

Une femme irakienne vote dans
un bureau de scrutin vendredi
à Calgary. (PC/Jeff McIntosh)
         Alors que l'atmosphère était généralement joyeuse, certains ont affirmé que le processus n'était pas parfait. L'organisation des scrutins à l'étranger - qui, à partir de vendredi, se tiennent dans 14 pays durant trois jours - a été critiquée pour sa précipitation et pour certains, l'élection ne permettrait pas l'avènement d'une réelle liberté tant que les soldats américains resteront en Irak. Certains candidats sont restés incognito, craignant les représailles des insurgés, qui ont menacé de tuer quiconque participera, dimanche, à l'élection de l'assemblée nationale transitoire. Mais M. Amin a dit qu'il appréciait les étapes élaborées pour s'assurer que les élections se déroulent malgré les attentats quotidiens à la voiture piégée, les assassinats et les menaces de mort des rebelles opposés au vote. "La démocratie n'arrive pas rien qu'en claquant des doigts, a-t-il dit. Il faut beaucoup d'efforts, de tolérance et de patience."
         Les contrôles de sécurité étaient serrés à Toronto. Des chiens renifleurs d'explosifs étaient sur place et les électeurs devaient passer par un détecteur de métal pour ensuite subir une fouille. Les allées et venues des électeurs étaient aussi étroitement surveillées par des policiers et des employés. Le vote a commencé le jour même où les insurgés ont tué cinq soldats américains en plus de faire exploser une voiture piégée qui a causé la mort de quatre agents de la police irakienne. Un irakien relié au réseau terroriste Al-Qaïda a aussi émis un message dans Internet à l'effet que les Irakiens pourraient être attaqués aux bureaux de scrutin, qui ont été qualifiés de "centres de l'athéisme et du vice". Des représentants irakiens redoutaient qu'un faible taux de participation - particulièrement chez les musulmans sunnites - n'entache la légitimité du nouveau gouvernement.

Paul Martin en Chine et au Japon (2005-Jan-20)

Radio-Canada.Ca : Paul Martin est en Chine dans le cadre de sa tournée asiatique, accompagné de 300 hommes d'affaires en mission économique. Il a rencontré son homologue chinois, Wen Jiabao (photo), et doit rencontrer le président Hu Jintao. Le Canada et la Chine ont signé une dizaine d'accords de coopération, jeudi, à l'occasion de la visite du premier ministre Paul Martin à Pékin, selon la télévision chinoise CCTV.

         Ces accords concernent les secteurs de la culture, des ressources, de l'énergie, de l'agriculture et de la recherche scientifique. Plusieurs ententes visent à encourager la collaboration entre les entreprises canadiennes et chinoises dans les secteurs du pétrole, du gaz, de l'énergie nucléaire et des énergies propres, toujours selon CCTV. Dans le domaine technologique, la compagnie Nortel a confirmé une entente de principe avec la société China Putian pour la création d'une coentreprise de développement, de fabrication et de vente d'équipements de téléphonie mobile.
           Économie et droits de la personne
         Le premier ministre Martin doit discuter de dossiers économiques avec les autorités chinoises. Il souhaite assurer un accès au marché chinois pour les investisseurs canadiens, et, réciproquement, ouvrir le marché canadien aux hommes d'affaires chinois. M. Martin doit aussi aborder la question des droits de la personne avec les leaders chinois. D'ailleurs, le refus par Pékin d'octroyer des visas à deux journalistes de la chaîne NTDTV a provoqué des remous, avant même l'arrivée de Paul Martin en Chine. Les autorités chinoises considèrent la chaîne NTDTV comme étant proche du mouvement Falungong, qualifié de secte par Pékin.
         À l'issue de sa rencontre avec le premier ministre chinois, Paul Martin s'est adressé, en compagnie de Wen Jiabao, aux 300 membres de la délégation commerciale canadienne. Les deux hommes ont mis l'accent sur les nombreuses occasions d'affaires pour les Canadiens en Chine, sans toutefois aborder la question délicate des droits de l'Homme. Un communiqué conjoint affirmait toutefois que le Canada et la Chine tiennent des discussions annuelles à ce sujet.
           Au Japon, Martin plaide la cause des éleveurs de boeufs
           En visite à Tokyo, mercredi, Paul Martin a soulevé la question de l'interdiction du boeuf canadien lors de son entretien avec son homologue japonais, Junichiro Koizumi. L'embargo du Japon sur le boeuf canadien a été décrété en mai 2003. La fermeture du marché nippon représente une perte d'environ 150 millions de dollars par an pour l'industrie du boeuf canadien. M. Martin a obtenu l'assurance que la décision de rouvrir ou non le marché japonais au boeuf canadien serait basée sur des données scientifiques et que la réouverture se ferait le plus tôt possible:
           « On est d'accord que ça prend une base scientifique. (...) On est très confiant au Canada dans la capacité de notre science et la capacité de notre industrie. Alors le plus vite possible c'est exactement le processus que nous allons suivre ». Depuis qu'il a vécu sa propre crise de la vache folle en 2001, le Japon, contrairement au Canada, inspecte son cheptel en entier.

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