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L'équipe d'intervention canadienne déployée
au Sri Lanka (2005-Jan-03)
Radio-Canada.Ca : Le gouvernement fédéral a annoncé
le déploiement au Sri Lanka de l'Équipe d'intervention en
cas de catastrophe, le DART (Disaster
Assistance Response Team). Le ministre de la Défense, Bill Graham
(photo), a précisé que l'équipe d'intervention
se rendrait dans la région d'Ampara, au Sri Lanka. Les 200 membres
de l'équipe devraient être à pied d'oeuvre en territoire
sri lankais dès jeudi. L'équipe d'intervention, mise sur
pied en 1996, a pour mission principale de monter un hôpital de campagne
et une unité de traitement de l'eau. Ottawa n'y a eu recours que
deux fois: en Turquie, à l'occasion d'un violent tremblement de
terre, et au Honduras, frappé par l'ouragan Mitch. |
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D'autre part, une équipe de spécialistes de la Gendarmerie
royale du Canada (GRC) quitte Ottawa lundi pour la Thaïlande, où
elle aidera à l'identification des victimes des raz-de-marée
de dimanche dernier qui, selon un bilan provisoire, ont fait près
de 145 000 morts. Le gouvernement fédéral
enverra également dans la région 20
000 couvertures, 40 000 génératrices, 15 unités d'alimentation
mobile, ainsi qu'un million de capsules de purification d'eau.
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Aide doublée
Dimanche, le gouvernement canadien a doublé son aide aux victimes
des tsunamis en Asie du Sud-Est, la faisant passer de 40 à 80
millions de dollars. Le premier ministre Paul Martin (photo)
a fait cette annonce au terme d'une réunion d'urgence de son cabinet.
Trois ministres canadiens envoyés sur place
Par ailleurs, trois ministres du gouvernement Martin sont envoyés
en mission en Asie. À l'instar du ministre des Affaires étrangères,
Pierre Pettigrew, parti lundi matin pour Jakarta, en Indonésie,
la ministre de la Coopération internationale, Aileen Carroll, et
le ministre de la Santé, Ujjal Dosanjh, se rendront dans la région
pour coordonner les services canadiens à l'étranger. |
Jeudi, ils assisteront au sommet des pays donateurs de l'Association des
nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), élargi à d'autres États
et consacré aux conséquences des raz-de-marée.
Les drapeaux canadiens sont en berne
De plus, les dons aux organisations caritatives que les Canadiens feront
jusqu'au 11 janvier pourront être déduits de leur déclaration
fiscale 2004, s'ils le désirent. Ottawa a également décidé
de faciliter les démarches administratives, comme l'obtention de
visas, pour les familles canadiennes directement affectées par la
catastrophe naturelle. Finalement, les drapeaux canadiens
sont mis en berne sur tous les édifices publics depuis dimanche,
et ce, jusqu'au 8 janvier. Ce jour-là, une cérémonie
aura lieu à Ottawa pour les victimes du tsunami. À
son retour, le premier ministre a dû expliquer pourquoi le Canada,
comme d'autres pays, n'avait pas fait preuve de diligence dans sa réaction
à déployer de l'aide. Plusieurs ministres de son cabinet
ont déjà été pressés de questions à
ce sujet, d'autant que 5 Canadiens sont morts et
plus de 150 autres sont portés disparus dans cette catastrophe naturelle.
Les Canadiens font preuve de générosité
Les Canadiens ont exprimé leur sympathie pour les victimes des tsunamis
en donnant massivement de l'argent aux différentes organisations
caritatives du pays. Le gouvernement fédéral a promis de
verser un montant équivalent à celui des dons privés
qui auront été enregistrés jusqu'au 11 janvier. De
cette façon, CARE Canada est près de son objectif de 2,5
millions de dollars. De son côté, Vision mondiale Canada a
reçu un total de 4 millions de dollars en dons, samedi, et espère
amasser plus de 10 millions de dollars. La Croix-Rouge canadienne a récolté
26 millions de dollars, Oxfam Canada 2,3 millions de dollars, et UNICEF
Canada plus de 3 millions de dollars. |
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Canada pledges $1 million for earthquake relief
(2004-Dec-26)
CTV.ca News Staff : The federal government is committing an
initial $1 million to earthquake relief aid as Canadians with ties to south
and southeast Asia also scrambled to react to the disaster. "As relief
organizations are currently assessing the needs on the ground, Canadian
officials continue to closely monitor the situation and stand ready to
give further humanitarian assistance," Aileen
Carroll, Minister of International Co-operation, said Sunday
in a news release. In Toronto's Little India neighborhood, there was shock
at the sight of all the devastation caused by the massive earthquake
and the tsunamis it generated.
"It's bad, bad, bad," Sudesh Bahl, who owns the popular Barbecue
Hut restaurant, told CFTO News. One of Bahl's regular customers, a Sri
Lankan, was worried about the fate of family on the island located off
the south tip of India. "The telephones are not working because all
the lines are dead," Bahl said. South Asian radio stations across Canada
are attempting to help fill in the information gap. A Sri Lankan-Canadian
woman who operated a clothing store in the area, the largest South Asian
shopping district in eastern North America, said her family was safe but
in shock at the destruction.
Abu Siregar, a Indonesian-Canadian, worked the phones all day trying to
help organize a response to the crisis. "They really, really need blankets,
something like that. And medicines. Because their houses are gone,"
he told CFTO News. Groups like the Red Cross and
UNICEF are urging people to donate cash, not goods. Other groups
helping provide relief are Oxfam, World vision
and Medicins Sans Frontieres. "There's no question, with the
size of this earthquake and the tsunamis that have resulted, there's literally
millions of people who are going to be impacted by this event,"
Don Shropshire, a spokesman for the Canadian Red Cross, told CTV News.
The Canadian Red Cross has pledged $200,000 so far. The Canadian Catholic
Organization for Development and Peace said it will send $50,000.
To donate, Canadians can contact:
Canadian Red Cross, toll-free at 1-800-418-1111
World Vision toll-free at 1-800-268-5528
UNICEF Canada
Canada's toll
So far, only one Canadian citizen has been confirmed dead, and about another
dozen wounded. That fatality happened in Sri Lanka, were an estimated 4,500
have died. The total number of dead is estimated at 11,300 and growing.
UNICEF, the United Nations aid agency, estimates that about one-third of
those are children. One Quebec man got a shock Sunday when he got a phone
call from his brother in Phuket, Thailand who wanted to describe the ordeal
of himself, his daughter and his girlfriend. "When he called me, he
was in a panic, I can tell you,'' Francois Desharnais, in the central
Quebec town of St-Christophe-d'Arthabaska, told The Canadian Press about
his brother Bertrand. "They were all banged up, Marie-Pier (Bertrand's
daughter) more than the others. When the tidal wave struck, they were in
their hotel room and they ended up near the ceiling after the water swept
them upwards. "Marie-Pier was caught between the doorframe and the ceiling
and was cut up a bit. "He told me that if they hadn't been in the hotel
room with Marie-Pier, they would have died because they would have been
swept away." "The last time he called me, he was feeling better but he
was shook up. I'd never heard him that shaken up. He told me he came close
to dying.''
B.C.'s future?
The impact of the quake is a human story, but it's also a scientific one.
Geologists here are interested in the situation because a major earthquake
is expected someday in British Columbia. "What we are trying to understand
is how the ground will shake in Vancouver and Victoria during our future
earthquake," research scientist John Cassidy of the Geological Survey
of Canada told CTV News. B.C.'s coastal communities are at risk from tsunamis.
If a major quake happened like the one in Alaska in 1964, those communities
would have about 3.5 hours warning, Bob Bugslag, director of B.C.'s Provincial
Emergency Program, told The Canadian Press. "We are on the Pacific Rim
and the entire area is very vulnerable to tsunamis," said Bugslag on
Sunday. Unlike the Indian Ocean, the Pacific Rim countries have a tsunami
warning network. Bugslag said it generates about one alert per week.
With a report
from CTV's Sarah Galashan and files from The Canadian Press
WORLD ENVIRONMENT
AWARENESS (2004-Dec-11)
1) Gérard Latortue préférerait
que l'aide encore en banque serve au reboisement d'Haïti
MONTREAL (PC) - Si on lui donnait
le choix, le premier ministre par intérim d'Haïti, Gérard
Latortue, préférerait que les quelque 526
000 $ amassés par l'Organisation d'entraide canado-haïtienne
(ODECH) qui dorment depuis trois mois dans les coffres d'une banque montréalaise
servent au reboisement plutôt qu'à soulager les sinistrés
des Gonaïves. Cette somme a été
amassé dans le cadre d'une cueillette de fonds pour les victimes
du cyclone Jeanne
qui a frappé Haïti en septembre dernier. D'après l'ODECH,
il a toujours été clair que cette somme servirait à
des projets de développement durables à long terme. Certains
donateurs ainsi que le conseiller municipal responsable des relations interculturelles
à la Ville de Montréal, Marcel Tremblay, ont cependant contesté
cette version des faits. Ils affirment que les dons devaient plutôt
être affectés à l'achat de denrées, de médicaments
et biens de premières nécessités. Samedi, Gérard
Latortue a dit souhaiter que se réalise
le projet de l'ODECH d'investir dans le reboisement de son pays. |
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"Vous savez, aujourd'hui en Haïti, tout est une priorité.
Où que l'argent aille, il est utile. Mais le reboisement est un
enjeu très important. Nous avons perdu près de 98 pour
cent de notre végétation. Il faut développer de
manière urgente un programme, sinon le pays sera érodé
par la mer", a-t-il expliqué en marge d'une conférence
avec la diaspora haïtienne, à Montréal. Le chef du gouvernement
transitoire a souligné qu'il appartenait aux donneurs de choisir
les projets à financer. "Mais si c'était mon choix, je
choisirais le reboisement. Parce qu'on a beaucoup d'argent pour l'aide
d'urgence, et moins pour des problèmes comme la reforestation."
Pour
sa part, le premier ministre Paul Martin
a insisté sur l'importance de l'engagement et du soutien à
long terme pour aider les pays en voie de développement ou en difficulté.
Après avoir promis "que le Canada serait toujours là pour
Haïti", il a souligné que l'aide d'urgence était
"absolument cruciale" en cas de catastrophe, mais qu'il fallait aussi que
des organisations prêtes à donner un coup de main restent
"après le départ des caméras de télévision".
Les appels à l'aide d'Haïti au lendemain du passage de Jeanne
ont été entendus par beaucoup de Québécois.
Des tonnes de matériel ainsi que 4
millions $ ont été amassés
en quelque jours. Une partie des objets et des denrées récoltés
n'a pas encore été acheminés vers Haïti en raison
de problèmes logistiques, mais les responsables assurent que cela
sera fait au cours des prochaines semaines. Pour éviter les cafouillages
à l'arrivée, le gouvernement haïtien a chargé
un comité spécial de coordonner la répartition des
dons dans le pays.
2) AIR POLLUTION KILLS FIVE MILLION IN INDIA
Asia Security Monitor : Air pollution in India causes as many as
five million deaths every year, reports Agence France-Presse. The World
Health Organization [WHO] puts the safety cap of suspended particulates
per cubic meter at less than 50 micrograms. New Delhi has between 350 to
800 micrograms, which makes India’s capital one of the most polluted cities
in the world. Environment and Forest Minister Namo Narayan Meena stated
that sixty to seventy percent of India’s pollution is caused by motor
vehicles. Seven million cars were bought in India last year, and nearly
10,000 cars have been added each month in New Delhi alone. Throughout the
country, India’s air pollution has created an estimated 40 million asthmatic
patients. Namo Meena said that, “realizing the urgent need to control
vehicular pollution, a road map has been drawn for tighter emission norms
and fuel quality improvement.”
3) Bangladesh threatened by rising sea levels
Asia Security Monitor : Bangladesh, situated in the low-lying
Ganges River delta, is one of the most densely populated countries on earth
and remains one of the most vulnerable countries to global warming, reports
BBC News. In the last century, sea levels have risen between nine to 20
centimeters, and scientists predict an increase of nine to 88
centimeters by the year 2100. Bangladeshis, who mostly live
without electricity and motorized transportation, have contributed very
little to the pollution that is blamed for climate change. Abdul Razzak,
a villager in Bangladesh stated that, “We are angry with the people
building these factories that will make us sink into the sea.” International
tension could escalate in neighboring countries if millions of people are
forced to migrate due to rising sea levels.
4) PHILIPPINES BANS ALL LOGGING ACTIVITIES
IN WAKE OF KILLER STORM
Asia Security Monitor : Philippine President Gloria Macapagal-Arroyo
ordered a special government task force to identify and prosecute major
illegal loggers responsible for the deadly landslides that wiped out entire
towns in the Philippines after two back-to-back storms, reports
Agence France-Presse. Arroyo said anti-illegal logging task force head
Victor Corpus, Environment Secretary Michael Defensor, and Justice Secretary
Raul Gonzalez, were being given "one month from today to identify, investigate
and prosecute the big-time illegal loggers,
starting from the hardest hit disaster areas." The President stated that
she would prosecute the illegal loggers "the way we do terrorists, kidnappers,
[and] drug traffickers”, reports the Sun Star. Illegal loggers were "violators
of the right to sustainable environment," stated Arroyo during a speech
marking International Human Rights Day. "Health, education, and a sustainable
environment dwell in human rights as well as in shared prosperity. Human
rights are imperative for human survival and in the pursuit of the Millenium
Development Goals." Arroyo said she was "very grateful" for the quick response,
which included seven raids on alleged illegal sawmills in Mauban town,
Quezon province. "This morning, they filed cases against those caught,"
Arroyo said. Arroyo had suspended all logging activities in the country
following the killer floods and landslides
in Luzon that left some 1,500 people dead or missing. Officials
have blamed widespread logging in the Sierra Madre mountain range for the
deluge of mud, logs, and boulders that buried the majority of the three
towns.
GOD
vs BUDDHA
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