RENCONTRER
DIEU
DIEU - VS - BOUDDHA MEET
WITH  GOD


 

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De Quelle Nationalité Est  DIEU  ?   Voulons-Nous  LE  Rencontrer ?
( Reprise Nouvelle Année 2005 )

1) De Quelle Nationalité Est Dieu ?
 [ cf. God-vs-Buddha , 99/03/08 ]

         Quand j'étais président de la CKC (Communauté Khmère du Canada) en 1976-1977, j'ai envoyé un mot au docteur Marcel C. Roy, à la Pocatière : si DIEU existe, pourquoi a-t-IL laissé le peuple khmer aux mains des Khmers Rouges? Un peu avant, en France, quelqu'un a aussi écrit : les images des mourants de faim au Biafra et dans plusieurs pays du monde prouvent bien que DIEU n'existe pas. C'est que nous, humains, avons toujours cru qu'une Puissance Divine est censée nous protéger des grands malheurs. En contrepartie, nous devons à cette Puissance adoration et respect. Chaque fois qu'un jeune Cambodgien (qui allait à l'école, lisait le français et étudiait la science) blasphémait contre Bouddha ou les bonzes, ses parents ou grands-parents lui disaient immanquablement : attention, la terre s'ouvrira sous tes pieds et t'avalera vivant! Les Cambodgiens adoraient tellement Bouddha qu'ils oubliaient que Bouddha n'était pas cambodgien, leurs peintres et sculpteurs donnaient des traits et des styles cambodgiens à Bouddha. De même, les statues et portraits du Bien Heureux ont l'air japonais au Japon, chinois en Chine et sri lankais au Sri Lanka. Alors, de quelle nationalité était Bouddha, de quelle nationalité est DIEU?
        Qui dit nationalité dit politique. Depuis les temps immémoriaux, des tribus se formaient, s'alliaient ou se battaient ; des nations se formaient et se dominaient ; des civilisations fleurissaient et disparaissaient ; la guerre semblait être une nécessité, un moyen de survie, de prévention, d'autodéfense. Évidemment les chefs, les princes, les rois en profitaient tout en honorant les prêtres et les dieux. Odin est viking, Toutatis est gaulois, Zeus est grec, Osiris est égyptien, Jupiter est romain, Manitou est sioux et dakota. Même après l'apparition des écritures, des philosophies et des religions mondiales, les humains utilisaient ces dernières pour des fins politiques. Jaya Varman II, après un stage en sanskrit chez les Javanais brahmanes, revint à Angkor et se proclama le premier devaraja (roi divin) en 802. Jaya Varman VII, dépité par l'occupation et le sac d'Angkor en 1177 par les Chams, changea de religion et devint bouddhiste en 1181. Un prince protestant s'exclama «Paris vaut bien une messe!» avant de devenir le catholique Henri IV.
        Mais DIEU aussi intervient chez les humains en termes politiques car si la bonté et la droiture sont morales, la justice et la discipline sont politiques. Sodome et Gomorrhe sont disparus à cause de leurs luxures et vices. Moïse a reçu l'ordre de libérer son peuple de l'esclavage des pharaons. Jésus s'est proclamé roi des Juifs sous l'occupation romaine. Mahomet a donné à ses disciples le Coran mais aussi la Shariah. DIEU a démantelé l'empire khmer à cause de la cruauté et de la luxure des tyrans khmers (qui n'étaient pas plus cruels et plus vicieux que les pharaons, les césars ou les empereurs mayas, aztèques ou incas). IL a presque anéanti la civilisation cambodgienne à cause de la complicité entre les rois et les bonzes cambodgiens. Le pieux Samdech Chuon Nat n'ignorait pas les luxures au palais royal, les abus de pouvoir de Sihanouk et la corruption de son administration, mais n'osait pas dire un mot malgré son pouvoir moral de chef d'église bouddhique cambodgienne. Toutefois, DIEU a laissé un sursis au peuple khmer parce que ce peuple a été bon et a fait preuve de piété malgré qu'il ait mal compris les enseignements de Bouddha, SON Envoyé, et qu'il ait mal pratiqué la religion bouddhique. IL a voulu aussi que les Cambodgiens soient un exemple à tous les autres peuples du globe qui vont devoir bâtir ensemble le monde du troisième millénaire.
        Car chaque personne, chaque société a un choix. Comme Adam et Ève ont eu un choix et ont choisi : grâce à DIEU et à cause d'eux, nous, leurs descendants, avons maintenant des bombes thermonucléaires mais aussi des antibiotiques et des blocs opératoires, des trottoirs pleins de mendiants mais aussi des banques remplies d'or, d'argent, de diamants et de titres commerciaux. Tout le long de notre vie et de l'évolution de la planète, DIEU s'attend à ce que nous apportions nous-mêmes des corrections à nos erreurs puisqu'IL nous a donné la faculté de distinguer le bien du mal. Et quand IL voit que nous n'en avons cure, IL intervient en conséquence. IL nous a dépêché Moïse, Siddharta, Jésus et Mahomet pour ne citer que ceux-là. IL a inspiré des dirigeants politiques réformateurs tels Lech Walesa et Mikhaï Gorbatchev comme IL a laissé le diable pousser des dirigeants destructeurs tels la Bande des Quatre et Pol Pot. IL fait déchaîner les éléments, la géologie et la biologie. Sans parler des apparitions, du suaire de Turin, des statues qui pleurent ou qui transpirent.
        Les circonstances de la mort de la princesse Diana étaient troublantes. Elle était anglaise, Al-Fayed égyptien et ils mouraient ensemble en France. Leur voiture, avant d'aller s'écraser contre un pilier de pont, roulait devant l'obélisque de Louksor que Napoléon 1er avait amené d'Égypte comme trophée de guerre, l'Égypte post-pharaonienne que la France et l'Angleterre s'arrachaient comme pièce de leur empire respectif. Devrions-nous comprendre qu'il est temps que ces deux superpuissances reconnaissent ensemble, solennellement, que c'était leur concurrence qui fut la cause de beaucoup de conflits et de tensions actuels un peu partout dans le monde : racisme résultant de l'esclavagisme et du colonialisme, séparatismes, indépendantismes, revendications territoriales, conflits frontaliers, guerres et coups d'État, tensions ethniques et religieuses? Coïncidence extraordinaire, DIEU rappela à LUI Mère Térésa une semaine après la princesse Diana comme s'IL a voulu que les paparazzi et les caméras de télévision parlent aussi de l'oeuvre immense de cette modeste femme dévouée à nourrir et soigner les plus miséreux. Et peut-être, DIEU a voulu aussi que le pape entende pour la dernière fois Mère Térésa qui lui avait demandé de donner tout l'or et l'argent du Vatican à tous les pauvres de la Terre. «Tu ne peux pas servir deux maîtres à la fois : DIEU et l'argent!» sermonna l'archevêque de Québec, Maurice Couture, lors d'une messe dominicale voici quelques mois.
        Quand les Indes commençaient de réclamer leur indépendance de la Grande-Bretagne et que des heurts religieux allaient provoquer leur scission, Nehru se désolait de ce que ses compatriotes s'entretuaient parce qu'ils «appelaient DIEU sous des noms différents» : BRAHMA chez les Hindous, ALLAH chez les Musulmans. Mais même en habitant la même contrée et en adorant le même GOD, les Irlandais du Nord viennent seulement de faire taire leurs armes. Actuellement en Indonésie, affrontements entre Musulmans et Chrétiens font des morts et des blessés. La politique peut causer la guerre, la religion peut causer la guerre, le mélange des deux est encore plus explosif. Le malaise entre Chrétiens et Musulmans n'existerait pas s'il n'y avait pas eu les croisades pour "libérer" Jérusalem. De même, l'animosité entre Musulmans et Juifs ne bouillonnerait pas s'il n'y avait pas eu création de l'État d'Israël. La Guerre de Trente Ans a scellé pour plus de trois siècles la mésentente entre Chrétiens catholiques et protestants. L'histoire, la haine, l'ambition font encore des victimes aux Balkans, en Afrique et en Asie.
        La paix est encore et toujours possible, des exemples ne manquent pas. Au Maroc, Berbères et Arabes, Musulmans et Juifs vivent en bonne intelligence depuis des siècles. Au Cambodge, les Chams sont devenus khmers-islam et participent activement à la vie politique, économique et culturelle. Israéliens et Palestiniens se sont serrés la main. Le fait accompli, la raison, les compensations, l'aide au développement, l'équilibre sont des paramètres dans l'échiquier politique. La réconciliation, la médiation, les excuses sont des moyens moraux. Willy Brandt est allé s'agenouiller et prier à Tel Aviv, Desmond Tutu réussit à cicatriser les plaies de l'Apartheid, Tony Blair prévient le feu en offrant l'autonomie à l'Écosse et au Pays-de-Galles, s'assurant ainsi un avantage psychologique pour imposer la paix en Irlande du Nord. Quand on est propre, on peut dire aux autres de se laver. Il y a quelques mois, les vétérans canadiens anciens de Hongkong ont réclamé des excuses et des dédommagements financiers du Japon. Les Japonais ont refusé. Leur argument : ils ont eux-mêmes reçu deux bombes atomiques et, après tout, Hongkong n'était pas une banlieue de Londres. Pas plus que Jérusalem n'était une banlieue de Rome.
        Il est légitime qu'aux Amériques les descendants des colons français, irlandais, portugais, espagnols, etc. expriment annuellement leur identité et leur fierté : Fête Saint-Jean-Baptiste, Festival Acadien, Shamrock Parade, Diaz de la Raza, etc. Mais que doivent en ressentir les descendants des autochtones? Que doivent en ressentir les descendants des esclaves? Le Ku Klux Klan vient de remettre ses cagoules et rallumer ses feux lors du procès de ce jeune Texan qui, avec une chaîne accrochée à son 4x4, a traîné à mort un Noir américain. On ne sait lequel, du crime ou du visage fier et amusé du jeune Blanc, est le plus horrible. Alors, de quelle nationalité est DIEU? Est-IL noir ou est-IL blanc?
        À Vancouver un dimanche, il y a quatre ou cinq ans, sur l'écran de télévision et sur la chaîne CTV, un pasteur loua son DIEU vivant en abaissant les philosophes Confucius et Bouddha : «These creeps are dead!» Ainsi je crois que tant et aussi longtemps que les adultes d'aujourd'hui ne reconnaissent pas ensemble, solennellement, que les Croisades, l'Inquisition, la Conquête des Amériques et de l'Océanie, l'Esclavagisme Transatlantique et le Colonialisme étaient des torts de l'humanité, il ne faut pas s'étonner qu'il y a des adolescents néo-nazis jusqu'en Nouvelle-Zélande et que DIEU sera toujours français, GOD anglais, DIOS espagnol, JÉHOVAH juif, ALLAH arabe, BRAHMA hindou.
 

2) Voulons-Nous Rencontrer Dieu ?
[ cf. Fran-Glo-Gibwé , 2000/08/22 ]

           Selon l'Évangile, à un homme riche qui lui demandait que faire de plus pour entrer dans le Royaume des Cieux, Jésus répondit : «Vends tous tes biens, donne l'argent aux pauvres et suis-moi !» Le riche, désenchanté, tourna le dos à Jésus. Deux mille ans après, on parle de plus en plus du Christ ressuscité. Est-il déjà ici parmi nous et quel serait son onzième Commandement pour ces temps des explorations interplanétaires ?
           En mars dernier à Jérusalem, Jean-Paul II a demandé pardon à Dieu pour les offenses de son Église. Les Orphelins de Duplessis haussèrent alors leur voix. Mais Lucien Bouchard leur opposa une fin de non-recevoir : «On ne peut pas ouvrir tous les dossiers». De son côté, pour dédommager les victimes des écoles résidentielles, l'Église anglicane canadienne vient d'affirmer qu'elle n'a pas assez d'argent et veut y impliquer Ottawa pour sa "politique d'assimilation des Amérindiens". Oui, partout il est question d'argent : les Expos, les grèves, les manifestations aux réunions du G-8 et de l'OMC ... Alors, où peut-on trouver de l'argent ? Est-il possible de créer de nouvelles richesses ? En l'an 1800, les États-Unis comptaient seulement 5 millions d'habitants. De 1800 à 1910, Washington a fait entrer 40 millions d'immigrants. Cela était possible car le gouvernement distribuait des terres aux nouveaux venus. Le Canada, plus étendu mais dix fois moins peuplé que son riche voisin du sud, pourrait-il faire de même à partir de 2001 ? Les agriculteurs de la Saskatchewan crieraient au scandale car cela ferait baisser le prix du blé. Les éleveurs de l'Alberta ne voudraient pas voir entrer plus de bétail. Les producteurs laitiers et les aviculteurs du Québec verraient d'un mauvais oeil de nouveaux concurrents qui bouleverseraient leurs quotas.
          En vérité, tout a déjà été pris, que ce soit au Canada, au Brésil, au Cambodge ou au Sénégal. Tout a un propriétaire, privé, public, corporatif ou individuel. Personne n'accepterait de céder ses avoirs et acquis. Mais nous avons tous une excuse : Dieu nous a condamnés à travailler. Dans le jardin d'Éden, l'australopithèque, nu sans le savoir et sans en rougir, cueillait et chassait pour vivre (heureux ?) pendant un million d'années. L'homme soi-disant intelligent construisit sa première machine volante en 1890 A.D. et réussit en moins de deux siècles à défigurer et mettre en péril le jardin d'où il avait été chassé. Nous sommes aujourd'hui plus de deux milliards de cultivateurs, d'éleveurs et de pêcheurs, dépendant ainsi directement de la nature. Plusieurs dizaines de millions sommes des employés, peu ou bien rémunérés selon nos capacités. Quelques dizaines de milliers seulement pouvons être qualifiés de riches. Et ce n'est que justice, nous n'avons eu que ce que nous (et nos parents) avons mérité. Remarquez que je n'ai pas mentionné les mendiants et autres crève-la-faim.
          Mais accumuler des avoirs signifie nécessairement les prendre de quelque part, ne serait-ce que directement de la nature, comme des homards ou des pierres précieuses. Pour augmenter leur profit, des banques préfèrent multiplier les caisses électroniques et licencier des employés. De gros consortiums tentent de grossir encore plus en avalant d'autres entreprises. L'homme paraît insatiable. Pourra-t-on s'entendre pour baisser les prix, supprimer la concurrence et ne produire que le nécessaire ? Nourriture, santé et éducation devraient être nos seuls objectifs, car richesse est aussi synonyme de superflu si ce n'est de gaspillage. J'ai travaillé dans des restaurants ; c'était scandaleux de voir ce que les clients laissaient dans leurs assiettes et qu'on était obligé de jeter dans la poubelle chaque jour. Michael Jordan, après avoir vanté une marque de chaussures, fut surpris d'apprendre qu'il gagnait à la publicité plus que les ouvriers philippins réunis qui fabriquaient ces espadrilles. Alors, accepterons-nous, patrons et employés, de gagner moins, d'abandonner la devise "Créer des besoins nouveaux" chère aux businessmen américains, de mettre en place un nouveau système économique axé principalement sur la trilogie Nourriture-Santé-Éducation ?
          Au niveau étatique, on dit que l'argent est cousin germain de la politique. Depuis 1997, Jean Chrétien n'a pas raté une occasion pour signaler qu'un chef doit écouter son parti et que si l'on veut réaliser quelque chose, il faut être dans le gouvernement et non dans l'opposition. Joe Clark et le Parti progressiste-conservateur marqueraient-ils des points aux prochaines élections (et les suivantes) s'ils promettaient plus de casiers à homards aux Micmacs, plus de parcelles de forêts aux Algonquins, meilleure salubrité chez les autochtones du Nord ontarien ? Quand il s'agit de débloquer des fonds, tous les Paul Martin et autres Bernard Landry diraient qu'il n'y a pas assez d'argent ou qu'il y a d'autres priorités. Le candidat à la vice-présidence des États-Unis, Joe Lieberman, juif orthodoxe pratiquant, a eu une inspiration en déclarant dans son discours : «La dernière contrée à conquérir (the last frontier) n'est pas devant nous mais dans notre coeur». Jésus, quand l'homme riche lui avait tourné le dos, plaisanta avec ses compagnons : «Il est plus facile à un chameau de passer par le trou de l'aiguille qu'à un riche d'entrer dans le Royaume de Dieu !» Alors, si aujourd'hui nous voulons rencontrer le Christ ressuscité, nous savons quoi faire.

Une planète ébranlée (2005-Jan-01)

         La Terre a changé le 26 décembre dernier. Un chercheur français du Laboratoire de tectonique à l'Institut de physique du globe de Paris soutient que le tremblement de terre de Sumatra a modifié la géographie autour de l'île et ébranlé l'ensemble de la planète. La secousse, d'une magnitude de 9 sur l'échelle Richter a duré 3 minutes et 20 secondes dans la région épicentrale. « C'est colossal », soutient le scientifique Paul Tapponnier. Les plaques indo-australiennes et eurasiennes se superposent dans les profondeurs de l'océan Indien, près de l'Indonésie.

         Cette région, située entre les îles de Java et de Sumatra, se trouve à l'intersection de plusieurs failles et subit l'enfoncement de la plaque indo-australienne sous la plaque eurasienne. Lors du tremblement de terre du 26 décembre, la valeur maximale du glissement d'une de ces failles a été de 20 mètres sur une quarantaine de kilomètres vers le sud-ouest, et de 15 mètres, de façon répartie, sur plus de 100 km de long. Les chercheurs soutiennent qu'il y a également eu des mouvements verticaux, qui ont pu atteindre à certains endroits un ou deux mètres.
         Un expert de l'Institut géologique américain soutient que la secousse a déplacé certaines des plus petites îles des côtes de Sumatra de 20 mètres vers le sud-ouest. La pointe nord-ouest du territoire indonésien de Sumatra pourrait également avoir glissé vers le sud-ouest d'environ 36 mètres. Les chercheurs soutiennent également que l'axe de rotation de la Terre, qui n'est d'ailleurs pas fixe, a également été ébranlé, de façon infime toutefois.               [Sympatico.Msn.Ca]

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