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A) Hun Sen Accepts Singer's Televised Apology
BY KUCH NAREN AND ETHAN PIAUT THE CAMBODIA DAILY Popular singer Chea Sovanna, who was banned from television following a Dec 25 performance in which her dancing and open-back top were deemed too racy for Cambodian audiences, made a televised apology on CTN network on Wednesday. She said that criticism coming from Prime Minister Hun Sen had shown her the error of her ways, and specifically apologized to him and his wife Bun Rany for her behavior. "First of all, I would like to pay respect to all audience members and other Cambodian people," she said. "On Dec 25, I performed in a concert running on CTN’s ‘Modern Concert’ in which I wore improper clothes. But that day was Christmas, so I thought that as a performer, actress and singer, I just wanted to do bizarre things to get the audience excited." Government spokesman Khieu Kanharith said that Hun Sen has accepted her apology, and supported her return to broadcast performances. "I think everybody is happy," Khieu Kanharith said. Chum Kosal, CTN news producer and adviser to Hun Sen, said he had arranged for the televised apology, and added that Chea Sovanna would be allowed to return to television on the condition that she wears proper, traditional clothes. Journalism trainer Moeun Chean Nariddh said that although skimpy clothes go against Cambodian tradition, the apologies seemed excessive, and Chea Sovanna should not be the only one to bear the blame. |
Photo everyday.com.kh |
B) Comments :
Caricature by N.P. |
1- I suppose the whole affair must have started when Rany Hun Sen couldn't stand her one-eyed hubby ogling another scantily-clad woman. So the dictator had to do something to appease his wife. His solution: ban all scantily-clad women on TV. 2- Khieu Kanharith claimed: "...everybody is happy", but deep down inside he must be cursing Hun Sen's ban. |
CARICATURE
RIGHT APSARA : Singer Chea Sovanna apologized on her knees to you as if
you were a queen!
LEFT APSARA : Of course! My husband is real Cambodia king. Your husband
is opera king and your son chessboard king!
Khmer Young : It makes sense a lot. We know Hun Sen is Cambodian true king. King Sihamoni is just a dresser for Hun Sen.
N.P. : Yet millions Cambodians are on their knees before Sihamoni just by TRADITION. Is TRADITION = Khmers giving lands to Viets?
L’année 2005 qui s'achève a pu être considérée pour tous les Khmers (à l’intérieur comme à l’extérieur) comme l’année de l’explosion de la triste vérité sur les dramatiques problèmes des violations des Accords de Paix de Paris de 1991 et des violations de frontières khmères par ses voisins, en même temps que la colonisation vietnamienne du Cambodge, avec la complicité de M. Hun Sén ? En effet, après avoir, à la suite du « vote en parquet » forcé à main levée à l’Assemblée Nationale (PPC-FUNCINPEC) en juillet 2004, imposé sa mainmise sur toutes les institutions du pays, M. Hun Sén a clairement fait savoir à Sa Majesté le Roi NORODOM Sihamoni, par une lettre du 11 janvier 2005, qu’il poursuit ses « négociations » avec la République Socialiste du Vietnam (RSV) sur le tracé de la frontière khméro-vietnamienne sur la base du traité - illégal et inégal - qu’il a conclu le 27 décembre 1985, sous l’occupation des armées vietnamiennes.
Ainsi, la « crise » des frontières est ouverte, suivie tout au long de l’année, par des menaces de mort et des mesures terrorisantes d’humiliation et de répression de M. Hun Sén contre tous ceux qui contestent ses points de vue en la matière. A la fin, en novembre 2005, la reconnaissance officielle dudit traité 1985 est faite aussi bien par le Parlement, le Sénat que par le Roi, après que M. Hun Sén ait fait jeter en prison, lancé des poursuites judiciaires contre tous les opposants à cette reconnaissance, et menacé même d’abolir le régime monarchique en place.
Nous avons vu que toute critique des Citoyens khmers (pourtant autorisée par la Constitution du Royaume du Cambodge) contre la politique d’agression de Hanoi au Cambodge a été immédiatement et hargneusement réprimée par M. Hun Sén. D’un autre côté, grâce aux traités de 1983 et des circulaires successives des grands responsables du PPC, l’invasion massive de « colons vietnamiens » se poursuit sans relâche dans tout le pays. Leur nombre, selon des estimations khmères et étrangères, atteint maintenant près de 5 millions, soit plus de 33% de la population totale. Mais, toute allusion ou critique de cette colonisation vietnamienne est vivement étouffée par le pouvoir, sinon durement réprimée par la « police spéciale ».
Pour les Khmers, l’année 2005 a été donc celle de l’échec khmer sur toutes les questions vitales de leur nation et de leur peuple : problèmes de défense de l’intégrité territoriale, de contrôle de la colonisation vietnamienne notamment, des libertés civiques et de la démocratie, de la réduction de la pauvreté et de la misère des masses populaires,... (en un mot, une année noire et une année de la honte) en même temps que le Cambodge, en 2005, s’est de nouveau soumis à la domination totale du pouvoir de Hanoi. Le Cambodge se trouve ainsi réduit territorialement et les Khmers risquent de devenir bientôt « une minorité ethnique » affaiblie et asservie dans leur propre pays !
Chers Compatriotes et Amis,
Nous sommes tous convaincus que l’avenir du Cambodge est toujours entre
les mains des patriotes khmers. Leur union, leur discipline et leur détermination
de défendre l’indépendance, la souveraineté et l’intégrité
territoriale du Cambodge, c’est-à-dire la Liberté du peuple
khmer et la Démocratie, sont indispensables pour la survie de leur
pays, comme dit un adage français : « Aide-toi, le ciel t’aidera
». Aussi, au moment où s’annonce la Nouvelle Année
2006, je me dois d'exprimer fraternellement, au nom du Comité des
Frontières du Cambodge en France et dans le Monde, mes meilleurs
voeux à tous nos membres et amis, à tous nos Compatriotes
résidant dans divers pays à l’étranger et au Cambodge,
pour qu’ils retrouvent l’espoir d’une
vie meilleure et le bonheur de vivre au sein de leurs familles respectives
et au sein de la Grande Famille Khmère, avec un Cambodge libre et
prospère.
Sean Péngsè
(2005-Dec-11) K.I. : In a last minute – and maybe too late – reversal, Prime Minister Hun Sen and his advisers finally decided to appoint a law firm named Milbank, Tweed to represent him in a criminal lawsuit filed against him by a number of victims of his brutal regime. Milbank, Tweed is one of New York’s biggest law firms, and the primary lawyer with the firm dealing with Hun Sen’s case will be Jeffrey Barist. No doubt they could not turn down the prospect of the fat fee. The last minute reversal reflects Hun Sen’s intense hesitation and anxiety because he knows that a US court would examine US-produced documents (from the FBI, Senate, Washington Post, ...) that point to his implication in a deadly grenade attack in Phnom Penh in 1997 (in which an American citizen, Ron Abney [photo] was wounded), while the Cambodian court has rejected as “non valid” the very same documents and turned down all complaints against him. |
In an interview with VOA (Voice of America) Sam Rainsy said that he does not believe the current Cambodian leaders' words, |
and instead he believes the people living along the border in Prey Veng, Svay Rieng, Takeo, Kampong Cham, Mundol Kiri, Ratanakiri, Kampot, and Kandal provinces. They said the Vietnamese encroached the border deep inside Cambodia and swallowed the farm lands and the Buddhist temples.
1)
Les prix Nobel de la paix appellent le G8 à tenir ses engagements
Agence France-Presse - ROME : Les participants au sommet des
prix Nobel de la paix organisé à Rome ont condamné
samedi l'usage de la torture, réclamé la libération
de l'opposante birmane Aung San Suu Kyi et exigé des pays du G8
le respect de leurs engagements pour l'Afrique. Le communiqué final,
publié à l'issue de cette manifestation, "condamne fermement
la théorisation et le recours à la torture comme instrument
d'une politique, que ce soit par un groupe ou par un gouvernement". "La
torture ne peut être en aucun cas justifiée", ont-ils
affirmé. Les Nobel de la paix ont par ailleurs lancé un appel
pour la libération de l'opposante birmane Aung San Suu Kyi,
prix Nobel de la paix 1991, qui a passé plus de dix de ces 16
dernières années en détention.
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Lech Walesa et la Solidarinosk |
Le Polonais Lech Walesa (1983), la
Guatémaltèque Rigoberta Menchu (1992) et l'Argentin Adolfo
Perez Esquivel (1980), ont participé à cette rencontre accueillie
au Capitole par le maire de Rome Walter Veltroni. Le secrétaire
général des Nations unies Kofi Annan
a souligné dans un message le "rôle vital" que peuvent jouer
les prix Nobel de la paix pour "élever le niveau de conscience
des opinions publiques" et "encourager les gouvernements au respect
de leurs responsabilités" vis-à-vis de l'Afrique.
[Cyberpresse.ca]
2) Lech Walesa et la Pologne
L'histoire de la Pologne est assez semblable à celle du Cambodge
: un pays profondément religieux qui se voyait amputer de ses provinces
occidentales et orientales par ses deux voisins puissants, l'Allemagne
et la Russie.
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Political Parties Plan for Upcoming Elections (2005-Nov-20)
by Sakada Chun, Phnom Penh, Cambodia
The three main political parties in Cambodia are trying to come up with
reform ideas and strategies to win votes in future elections. FUNCINPEC
just ended its party congress Tuesday, focusing on reforms and strategies
and on strengthening a long-term alliance with
the Cambodian People's Party (CPP) for peace and political stability.
High-ranking officials from the opposition Sam Rainsy party (SRP) went
to the Philippines to meet with party president Sam Rainsy to discuss party
structure and reforms. CPP will also convene its congress soon to discuss
strategies for upcoming elections and to strengthen
partnership with the royalist FUNCINPEC party.
NGOs officials welcome all the plannings by the three main political parties but warn about such strategy that might not be democratic. The three political parties will be participating in the senate election next year where only national assembly members and district council members have the right to vote. Mr. Kul Panha, executive director of Comfrel, a watchdog organization for a free and fair election in Cambodia, said that he will monitor the three political party's strategies and reforms to see if the election is free and fair. [VOA News]
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