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Cambodge : les
criminels, les traîtres et les corrompus (2005-sep-20)
Depuis le 17 avril 1975, les dirigeants khmers ont adopté une culture
permanente de la criminalité, de la trahison et de la corruption.
Cette déchéance morale collective est la résultante
directe des dictatures successives. D’abord, le régime génocidaire
de Pol Pot. Ensuite, l’État de Héng Samrin-Hun Sen, fantoche
des Vietnamiens. Et, depuis 1993, c’est la folie de la monarchie royalo-communiste
khmère rouge Sihanouk-Hun Sen d’obédience sino-vietnamienne.
Tout Cambodgien né durant ces trente dernières années,
n’a pas été élevé ni dans des valeurs morales,
ni dans la culture du respect de la vie humaine, ni dans la justice et
la démocratie. Il n’a pas pu connaître de vérité
historique et politique de leur patrie... Par conséquent, à
l’instar des peuples de l’Asie du Sud-Est (Thaïlande, Indonésie,
Philippines…), durant la seconde moitié du 20e siècle, les
Cambodgiens sont condamnés à se rebeller contre leurs actuels
dirigeants pour la justice, la vérité et la démocratie
!
1)
La culture du génocide
De 1975 à 1979, grâce à Sihanouk, le régime
Pot Pot a pu exterminer, au bas mot, 2 millions de Cambodgiens. Trente
ans après, à cause de la complicité des gouvernements
successifs composés d’anciens Khmers Rouges, les survivants et les
victimes n’ont toujours pas reçu de justice, ni connu de vérité
sur le génocide. Le 17 avril 2005, seuls les Cambodgiens de la diaspora,
à travers le monde, ont commémoré les morts, alors
que dans le pays, ni l’ex-chef d’État du régime Pol Pot et
ex-roi Sihanouk, ni le nouveau roi Sihamoni, ni les institutions de l’État
khmer n’ont voulu, ni osé organiser de cérémonie à
leurs mémoires. Comment osent-ils encore et sans honte prétendre
aimer leur peuple ? Leur mépris et leur amnésie volontaire
ne méritent plus la confiance de la nation. S’ils acceptaient le
Tribunal International, en dehors du Cambodge, à la yougoslave,
pour juger les Khmers Rouges, tous les problèmes actuels évoqués,
personnels ou financiers, ne se seraient pas posés... Dans cette
culture du génocide permanente, l’impunité des crimes continue.
L’État Sihanouk-Hun Sen, héritier spirituel direct de l’État
polpotien, a utilisé toutes les manœuvres pour retarder et abandonner
le jugement de leurs anciens coreligionnaires Khieu Samphân, Nuon
Chéa, Ieng Sary, … qui continuent à vivre librement sous
sa protection.
2)
La culture de la trahison
L’Accord de Paris du 23 Octobre 1991 a jeté des bases légitimes
de liberté et d’indépendance du Cambodge. Hélas, le
régime royalo-communiste khmer rouge, sous la houlette du fantoche
Hun Sen, n’a fait que tromper la vigilance du peuple pour trahir sa patrie.
Les traîtres khmers osent même justifier cette cession par
le flou ou l’imprécision du tracé, en inventant l’existence
de zones blanches le long de ces frontières
communes… Les traités de 1979, 82, 83, 85, et 91 n’ont donc toujours
pas été annulés comme l’avait stipulé l’Accord
de Paris. Et cela, avec la complicité de l’ancien roi Sihanouk et
du Funcinpec, par peur de voir leur monarchie bâtarde abolie. Sihanouk
a écrit une lettre ouverte aux trois États voisins, leur
demandant de les restituer au Cambodge par l’acceptation, dans l’honneur,
de discuter et de délimiter sur place les frontières reconnues
internationalement de 1963 à 1969. Expression de remords pour la
2e perte de ces territoires sous son règne ou manœuvre de diversion
d’un traître ? Toujours est-il que le peuple a soutenu cette initiative
conformément aux revendications du Comité des Frontières
du Cambodge (CFC), basé à Paris, regroupant des patriotes
khmers à travers le monde. Son président Sean Péng
Sê a reçu l’invitation de Sihanouk pour le conseiller dans
cette revendication de territoires. Mais le traître Hun Sen a tenu
tête contre le peuple, en bloquant le fonctionnement de ce Conseil
National Suprême pour les Affaires de Frontières qu’il
a créé et dont Sihanouk est président, menaçant
de mort les manifestants potentiels osant demander les pleins pouvoirs
pour Sihanouk.
Depuis leurs installations au pouvoir par leurs maîtres, Héng
Samrin et Hun Sen ont compris que le temps a joué en faveur des
Vietnamiens : ils ont utilisé la tactique de jet de poudres aux
yeux, faisant croire aux citoyens que depuis janvier 1979 le Cambodge n’a
perdu aucun centimètre de son territoire au bénéfice
du Vietnam. Si c’était le cas, à quoi a-t-il servi leur travail
de re-délimitation de ces frontières sur la bases des traités
de 1979-82, 83, 85, 91 ? Il leur suffirait de ne rien toucher à
ces délimitations, quitte à les vérifier unilatéralement
en se basant sur les cartes reconnues internationalement de 1963 à
1969, et à porter ces maintes violations étrangères
devant la Cour Internationale de Justice de La Haye. A la connaissance
de la lettre ouverte, le Vietnam ordonna des replis partiels de ses troupes
et colons de quelques kilomètres sur des territoires annexés.
Et, après la démission de Sihanouk de ce Conseil Suprême
de Frontière, tout est rentré dans l’ordre aux profits des
Vietnamiens.
A cause des avalements ininterrompus de leur territoire par leurs voisins,
les Cambodgiens nourrissent une haine ancestrale envers les Vietnamiens.
Malheureusement, c’était souvent à cause de la trahison de
leurs dirigeants assoiffés de pouvoir. Par exemple, dans son premier
règne dès 1942, Sihanouk accepta, sans protestation aucune,
la cession de la Cochinchine au Vietnam
par la France, en 1949, et ce pour garder son trône. Pendant la guerre
entre les deux Vietnam, Sihanouk autorisa Hanoî à utiliser
des sanctuaires frontaliers khmers pour attaquer le Sud. Et, après
sa destitution du 17 avril 1970, Sihanouk implora Pham Van Dong à
tout faire pour le réinstaller au pouvoir, en aidant les Khmers
Rouges de Pol Pot à chasser le régime républicain
de Lon Nol. Finalement, Hanoî put ainsi utiliser tout le territoire
khmer pour battre Saîgon et gagner peu après la chute de Phnom
Penh. Enfin, pour se débarrasser des Khmers Rouges de Pol Pot et
pour son pouvoir, le traître Hun Sen accepta de céder des
portions importantes du territoire au Vietnam. Hun Sen et Sihanouk sont
donc du pareil au même, à tous les égards !
Stopper la visée annexionniste de leurs voisins suppose l’union
entre dirigeants khmers et leur peuple. Hélas, le régime
Hun Sen ne veut pas décharger cette noble responsabilité
au peuple ou à une personnalité plus indépendante
et plus compétente. Cela ne peut s’expliquer que par sa haute trahison,
et sa dictature pour pérenniser son pouvoir. L’initiative ambiguë
et avortée de Sihanouk ne peut se comprendre que, d’une part, par
sa peur de perdre, pour la deuxième fois, des portions de territoires
de son royaume au profit du Vietnam, et d’autre part, par sa volonté
insensée de pérenniser sa monarchie. Pour le peuple cambodgien,
ni la monarchie ni le pouvoir de Hun Sen ne l’intéresse. Le plus
important, c’est le recouvrement de l’intégrité territoriale,
la justice et la démocratie. Plusieurs manœuvres gouvernementales
furent annoncées pour légaliser l’annexion déjà
concrète de territoires entreprise par le Comité mixte des
frontières, dirigé par Var Kim Hong. A l’horizon, Hun Sen
déposera ce dossier de frontière remodelée à
l’ONU, après les signatures du Parlement et du nouveau roi Sihamouni.
Hun Sen réussira-t-il sa trahison sous la houlette du Vietnam ?
« Préparez vos cercueils, et écrivez vos testaments
pour vos femmes ou parents, car je vous fusillerai si vous oserez manifester
contre mon gouvernement sur le problème de frontières »,
a-t-il menacé à l’adresse des irréductibles patriotes.
Le KFP, parti politique issu de la jeunesse khmère, dirigé
par SUTH Dina, est allé constater la réalité et relever
les présences des militaires et colons vietnamiens sur les territoires
annexés de l’Est du pays. PANG Sakhoeun, plusieurs fois intimidé
par SMS, et BUT Rasmei Kong Kea ont déclaré ne pas avoir
peur de menaces de mort proférées par le premier ministre.
Pour l’instant, le peuple opprimé ne peut que contenir sa colère.
Pour la nation khmère, les noms de Héng Samrin, Chéa
Sim, Hun Sen, Sok An, Hor Nam Hong, Var Kim Hong, Long Vissalo, Khieu Kanharidh
… sont associés à jamais à la trahison de la patrie.
Le parti Funcinpec, par sa participation successive au gouvernement, est
d’ores et déjà considéré comme le parti complice
et fantoche des traîtres. Pour les Cambodgiens, la défense
de leur patrie est un devoir suprême. Hun Sen ne pourra pas les tuer
tous, et impunément ! Il n’osera pas et ne pourra pas devenir un
second Pol Pot !
3) Culture de la corruption
Pour sa longévité, l’État royalo-communiste khmer
rouge favorise la corruption tous azimuts, instituant ainsi une culture
permanente de l’impunité. Aucun assassinat politique, aucun crime
de drogues lié au pouvoir, aucun dirigeant corrompu n’a été
jugé ou condamné. C’est cette culture de spoliation des biens
de l’État, de partage exclusif des richesses nationales entre dirigeants
qui a inspiré Hun Sen dans la nomination de plus
de 400 membres de son actuel gouvernement. La répartition
des postes administratifs s’est poursuivie pour que les membres du Funcinpec
puissent avoir leurs parts du gâteau. L’administration publique,
corrompue et au service du privé, s’est donc profondément
politisée. Le peuple s’appauvrit de plus en plus : près de
la moitié des Cambodgiens vivent avec moins de un dollar par jour.
Historiquement, le régime de Pol Pot déposséda les
khmers de tous ses terres et biens immobiliers. Au lieu de les redistribuer
équitablement au peuple démuni, ou de les gérer comme
biens de l’État, les dirigeants actuels se les partagent entre eux.
Ils les ont revendus à prix d’or aux investisseurs maffieux. Et
le sort des manifestants de tous bords, tels des anti-expropriation de
terres au profit des dirigeants ? Les forces armées n’hésitent
pas à les fusiller. A Poîpet, et près de la frontière
Nord-Est du Cambodge avec le Vietnam, on dénombra une dizaine de
morts. Actuellement, dans le climat de peur, et de menaces de bain de sang,
entretenu par Hun Sen, aucune manifestation politique, syndicale ou culturelle
n’a droit de cité, ni autorisé.
Et la Constitution ? Elle ne fut pas choisie
au Référendum : Sihanouk l’a voulue tout seul et pour lui-même.
D’ailleurs, elle n’a jamais été respectée, car sans
cesse aménagée, modifiée et retapée pour qu’elle
puisse servir les ambitions de Hun Sen, Sihanouk et Ranariddh. En 1993,
bien que battu aux élections, Hun Sen eut recours à la manœuvre
de sécession de territoires de l’Est pour arracher in extremis sa
participation au gouvernement comme second premier ministre. Il déclencha,
en 1997, un coup d’État pour renforcer son pouvoir. Aux deuxièmes
législatives truquées de 1998, il écrasa les protestataires
dans le sang devant l’Assemblée Nationale. Le Sénat a été
créé et ajouté à la Constitution pour plaire
à Chéa Sim, comme premier président. Aux troisièmes
suffrages, en 2003, il a corrompu Ranariddh, pour que le Funcinpec, pourtant
allié du PSR, accepte de s’associer avec le PPC dans la formation
du nouveau gouvernement, en créant, ex nihilo nihil, le vote
bloqué par le Parlement dans l’investiture du gouvernement.
La Constitution fut remodelée encore, pour permettre à Sihamoni
de monter sur le trône après l’abdication anticonstitutionnelle
de son père. Et cela, sans parler de la levée anticonstitutionnelle,
à huis clos, de l’immunité parlementaire de trois députés
du parti Sam Rainsy, à charges de diffamation à l’encontre
de la corruption de Ranariddh. Le peuple khmer continue de subir cette
dictature dans la colère.
Ce n’est pas par des modifications constitutionnelles incessantes sans
raisons fondamentales qu’un État fasse progresser la démocratie.
Celle-ci ne peut fonctionner et s’enraciner que quand tous les acteurs
politiques et citoyens du pays respectent la Constitution votée
au Référendum. Ce ne fut pas le cas pour cette Grande Loi
déjà très défigurée, indésirable
et si méconnaissable qu’elle pourra être abolie un jour, sans
provoquer de nostalgie. Dans ce royaume, la dictature sihanouko-hunsénienne
a bel et bien pris ses racines, dès avril 1970. Elle s’est renforcée
depuis janvier 1979. La grande question est de savoir quand et comment
le peuple khmer arrivera-t-il à s’en débarrasser ? Quel en
sera le prix ? Tous les Cambodgiens ont le droit de réclamer leur
liberté, leur bonheur, le respect des droits de l’homme, la démocratie
et la justice sociale. Le peuple a honte d’avoir eu des dirigeants comme
Pol Pot, Ieng Sary, Khieu Samphân, Nuon Chéa, Hun Sen, Sihanouk…
!
OU CHAL, DEA
de Philosophie - Sorbonne
Président
de MVGKR (Mémorial des Victimes du Génocide commis par les
Khmers Rouges)
'My government serves His Majesty' (2005-Sep-10)
Thaksin
out to fight claims that his administration overlooked royal powers on
the Jaruvan and military reshuffle issues
The Nation : Speaking out for the first
time yesterday against critics accusing his government of challenging royal
powers, Prime Minister Thaksin Shinawatra insisted he and his ministers
were staunchly loyal to His Majesty the King. Thaksin's comments came two
days after a high-profile debate on royal prerogative was organised at
Thammasat University with the participation of such staunch critics of
the government as maverick Thai Rak Thai party-list MP Pramuan Ruchanaseree,
author of "Royal Powers", and Senator Kaewsan Atibhodi.
During his second weekly "Meet the Press" interview, Thaksin dismissed
statements by critical academics and politicians who had charged that his
government was trying to curtail the political prerogatives of His Majesty
the King. "People are entitled to their opinions. It is up to their
listeners, however, to decide how they like what they hear,'' Thaksin
said. After three weeks in suspense, the annual military reshuffle received
royal endorsement yesterday though the nomination of Visut Montriwat as
auditor-general has not received Royal endorsement after 90 days have passed.
Thaksin rebuffed concerns that the swirling controversy over his government's
alleged supra-legal interference was bound to result in an even wider rift
in Thailand's political landscape. He stressed his government would remain
careful not to act against the powers of His Majesty. "You
know, I graduated from the pre-cadet school and the police academy and
I was a police paratrooper," Thaksin said. "I have been through
a process that instilled in me a great sense of loyalty to the country
and its monarchy. Please understand this and do not worry. I will not allow
anyone to [try and impinge on the King's authority]."
Thaksin said he was aware of the various charges against his government,
but that he would not let "rumours" influence him in policymaking. "I
will serve out my second four-year term without any problems," the
prime minister told the gathered reporters. "We will definitely meet
every Thursday [at future "Meet the Press" events], don't worry." He
said his government was making it a high priority to address issues of
social and economic malaise about which His Majesty was especially concerned.
Thaksin dismissed reports the government had been interfering with the
contested post of auditor-general. He stressed the matter was entirely
in the hands of the Senate, not the Cabinet. Under the Constitution, the
government has no right to forward the nomination of an auditor-general
for royal consent, he pointed out. "Attempts have been made to implicate
the government in the matter and accusations have been levelled at us,
even though we have not done anything wrong," he said.
"We have no power to [influence the decision]. It's a pity that [so
much misunderstanding] has resulted. The government has been strictly following
the rules. People [who address the issue] must watch what they say before
they speak up." Yet when Thaksin was asked to comment on Pramuan's
accusation that the prime minister had tried to resolve the matter personally
by calling the beleaguered auditor-general Khunying Jaruvan Maintaka in
order - it is speculated - to negotiate a deal with her, Thaksin became
apparently agitated. "I can call anyone I want," he said. "Like
anyone else, I pay Bt3 a minute on a phone call. But how would you know
what subject I discussed with her in private?" Thaksin also side-stepped
a question whether he supported a proposal by Thai Rak Thai Party MPs to
expel Pramuan because of his open rebellion against the party. "It's
a problem among party members. It is normal that [when people argue] tongues
and teeth collide,'' he said.
http://www.nationmultimedia.com/2005/09/10/headlines/index.php?news=h...
Rithia
Young : Thai government serves His Thai Majesty. But His Khmer Majesty
serves Khmer Strongman who serves Hanoi!
Apocalypse : La "femme" cambodgienne
(2005-Sep-05)
1
La
femme
et
son
mari
|
|
|
2
La
femme
et
son
enfant
mâle
|
Vietnamese dam, Cambodian deaths (2005-Sep-02)
Flooding from dam release kills four, inundates
farms in Cambodia, group says
PHNOM PENH, Cambodia (AP) - The release of water from a Vietnamese
hydropower dam led to heavy flooding that killed four villagers and damaged
many farms in neighboring Cambodia, an environmental advocacy group said
Thursday. One villager died when a boat was struck by a collapsing tree,
while three others perished from waterborne illnesses caused by flooding,
which lasted 10 days on the Sesan River in early August, the Sesan
Protection Network said in a statement. Three villagers also were injured.
Vietnam notified Cambodia of the release from the Yali Falls dam,
but the information didn't reach ethnic minorities living downstream of
the dam in enough time.
"Without reliable knowledge on when water releases will occur, villagers
along the Sesan River are exposed to erratic and dangerous changes in the
water flow," the group said. About 55,000 people, mostly ethnic minorities,
live along the Sesan, one of the Mekong River's most important watersheds,
according to the Web site for a consortium of non-governmental organizations
giving assistance to Cambodia, NGO Forum.
Representatives of the Mekong River Commission - an intergovernmental organization
to promote sustainable development of the Mekong River Basin - and the
Cambodian Ministry of Water Resources and Meteorology could not be reached
for comment.
Sihamoni veut 3 photos royales (2005-août-29)
Le prince Sihanouk a demandé qu'on enlève son
portrait et celui de son épouse de toutes les places publiques.
Mais son fils, le roi, l' a supplié de changer d'avis, citant comme
raison "la gratitude du peuple" envers ses parents!
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3) Les perdants du 17 avril 1975 (2005-août-24)
Les 2 million crânes et leurs
familles survivantes.
GOD
vs BUDDHA
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