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Caricature by N.P. Photo Amekhmer |
Given these legs, Sihanouk, in his letter, called for a "joint verification, kilometre by kilometre, on the ground and on the spot of the delimitation of our common borders found in the US geographic maps produced by Washington DC between 1963 and 1969". Sihanouk's totally unexpected and unwelcome letter must have displeased Prime Minister Hun Sen and the other CPP leaders no end. They would have immediately recognised it as being similar to Sihanouk's earlier abdication strategy of forcing them to address an issue that was on the CPP back burner. Likewise, the governments of Vietnam, Thailand and Laos would certainly not have been amused by Sihanouk's gambit but diplomatically opted to maintain a frosty silence. Sihanouk is far too astute not to have anticipated such a reaction and would appear to have calculated that desperate problems called for unorthodox measures. Cambodian leaders are skilled in political manoeuvres and one-upmanship which they practise with tremendous enthusiasm. In the event, the Cambodian government was no less creative than the former King and promptly established a politically heavyweight seven-member Supreme National Council on Border Affairs which Sihanouk was persuaded to chair by King Norodom Sihamoni, his son. |
Trop
Peu
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Nouvelles dans Koh Santepheap : 1)
Dans la province de Siemreap, le transport des bois précieux
continue de plus belle, jour et nuit, dans les districts de Krâlanh,
Banteay Srei et Baqorng-Srah Srâng. Ces bois proviennent du district
de Varin de la même province, et aussi de Oddar Meanchey (districts
de Anlong Veng et de Trâpeang Prasat). Les négociants sont
puissants ou haut placés, les fonctionnaires des Eaux et Forêts
restent silencieux.
2) Une centaine d'hectares de forêts sur un flanc de montagne dans
la province de Koh Kong ont été transformés
en terrain vague par une quarantaine d'ouvriers payés par un ou
deux multi-millionnaires. L'organisation Wild Aid, avec une autorisation
venue de très haut, a réussi seulement à faire détruire
les pousses d'hévéa que les entrepreneurs utilisaient comme
prétexte. On craint que l'exemple ne se transmette et que des pans
de forêts ne soient détruits pour laisser place aux terrains
privés.
3) M. Chheang You, chef de la passe frontalière de O Yadao a rapporté qu'un groupe de Vietnamiens a pénétré dans la "zone blanche" à 200 m du poste, et abattu des arbres et fait des terrassements en vue d'ériger un nouveau poste, mais en a été empêché par ses hommes. Un autre officiel, qui a demandé l'anonymat, a confié que c'est la troisième fois en 2005 que s'est passé pareil incident et qu'il a même confisqué les scies mécaniques des Vietnamiens. Mais le niveau provincial a ordonné de retourner le matériel confisqué. Radio Free Asia a essayé d'interviewer le gouverneur de Rattanakiri, Kham Khoeun, mais ce dernier s'est dit retenu par un déplacement à Hanoi. M. Maunh Saphan, président de la commission de l'Intérieur de l'Assemblée nationale, a reconnu qu'un rapport a été reçu par la commission et qu'il va demander des éclaircissements de la part du ministère de l'Intérieur. De son côté, Var Kimhong, le vrai patron des affaires frontalières, a dit au téléphone qu'il se rendait à cet endroit en 1997 et que la partie vietnamienne demandait de couper du bois mais qu'il refusait. Il a en outre précisé que les autorités provinciales ne doivent pas permettre aux Vietnamiens d'abattre des arbres et de faire des terrassements dans la "zone blanche".
4) Pour la troisième fois en 2005 dans la province de Kampong
Thom, des viols suivis de meurtres ont été perpétrés,
cette fois dans le district de Prasat Balainq et faisant deux victimes
: Chan Sat, 20 ans et sa jeune tante, Bout Khet, 21 ans. Les deux quittaient
la maison vers 13 h 30 avec les boeufs pour les pâturages situés
à 6 km. Leurs cadavres, avec les yeux mutilés, ont été
trouvés vers 15 h 30 par d'autres gardiens de boeufs.
5) 12 familles de Bavet, Chantrea, province de Svay Rieng, se plaignent
d'avoir perdu 19 hectares de terres aux mains d'un général,
des officiers supérieurs et des fonctionnaires des Impôts.
Ces abuseurs s'apprêtaient à vendre les terrains aux commerçants.
Les dossiers sont aux tribunaux et même au bureau de Hun Sèn.
La candidature du Japon au Conseil de sécurité de l'ONU est une chose, l'idée d'une seule Chine en est une autre! Junichiro Koizumi
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A-Tnaut : Sous Pol Pot, nous les boeufs étions gros et gras. Les humains étaient attelés aux charrues à nos places! A-Champa : Maintenant, avec ces rois poltrons qui en font dans leurs culottes devant Hun Sèn, il ne nous reste que la peau et le squelette! |
Une paysanne : Votre Excellence! Mon mari m'a dit que vous êtes meilleur leader que le roi-père! La voisine : (tout bas: Ça y est! Demain, elle va raconter à tout le monde que Samdech Hun Sèn la connaissait!) |
Hun Sèn : Mais non! Voyons! Les condensateurs sont à gauche! Les transformateurs sont à droite! Le directeur : (tout bas: Connard! T'étais en Seconde de lycée, et tu joues au docteur-ingénieur!) Sok An : (tout bas: Bien! Bien! Les Cambodgiens ont déjà oublié mon argent à Singapour. Ha! Ha!) |
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