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"On ne peut pas dire je suis
européen et voter non".
Jacques Chirac exhorte les
Français à "ne pas se
tromper de question".
France et Europe : Référendum (2005-Mai-26)
Nicolas Sarkozy : "Ne prenez pas l'Europe en otage"

Le Monde : "Je dis aux Français qui nous regardent : peut-être que vous êtes mécontents, peut-être que vous avez envie de renverser la table, mais ne la renversez pas sur vous, et surtout ne prenez pas l'Europe en otage", a déclaré Nicolas Sarkozy, jeudi soir 26 mai, dans une intervention télévisée sur France 3 diffusée trente minutes avant la déclaration solennelle du président français. Le président de l'UMP s'est livré à une analyse de la montée du non au traité constitutionnel européen dans les sondages."Qu'est-ce qui fait monter le non ? Ça n'a rien à voir avec l'Europe, ça a à voir avec un climat économique, social, avec une inquiétude qui existe en France et à laquelle il faudra répondre", a-t-il estimé. "Quand bien même le oui gagne, ça voudra dire qu'il y a 48, 49 % des gens qui auraient voté non. Il faut changer notre manière de faire de la politique, a-t-il précisé.On a eu le séisme adressé à la gauche d'avril 2002, le séisme des régionales, adressé à la droite cette fois, d'avril 2004 et la victoire du non serait un troisième séisme."

         "Ce qui compte à mes yeux, c'est l'analyse de la situation politique que nous ferons au soir du 29 mai. Est-ce qu'on considérera que ce sera une anecdote ou est-ce qu'on considérera que ce sera quelque chose de structurel ? A partir de ce moment-là, dans l'unité de la famille politique que je préside, on décidera ensemble de ce qu'il conviendra de faire", a poursuivi le chef de file de l'UMP. Prenant date pour l'après-référendum, Nicolas Sarkozy a réclamé "une autre politique" et "des changements structurels profonds". "La question qui se trouvera posée au lendemain du référendum, c'est qu'est-ce qu'on fait des vingt-deux mois qui restent du quinquennat de Jacques Chirac ? C'est cette question à laquelle il faut répondre. Après, que ce soit un tel ou une telle, peu importe. Et c'est les conditions, moi je pense qu'en vingt-deux mois on peut faire beaucoup de choses, je pense qu'il y a urgence", a-t-il souligné. [Avec Reuters]

Stronach quitte le navire conservateur et devient ministre libérale (2005-Mai-17)
         OTTAWA (PC) - Dans un rebondissement qui a pris tout le monde par surprise, mardi, le gouvernement minoritaire de Paul Martin s'est dégagé un mince espace pour respirer d'ici le vote de jeudi en recrutant dans les rangs de son parti la députée conservatrice Belinda Stronach. Mme Stronach devient la ministre des Ressources humaines et responsable du "renouveau démocratique". Si le gouvernement survit au vote de jeudi, l'ancienne conservatrice sera aussi responsable de la mise en oeuvre des réformes découlant du rapport Gomery sur le scandale des commandites.
         Cette défection de l'ex-candidate au leadership du Parti conservateur est majeure. A deux jours d'un vote fatidique sur le budget, qui s'annonce très serré, qui pourrait plonger le pays dans des élections générales, le saut de Mme Stronach ne donne aucune assurance aux libéraux quant à une victoire mais allège un peu leur fardeau. Pour renverser le gouvernement, les conservateurs et les bloquistes doivent désormais rallier à leur cause les deux indépendants incertains, David Kilgour et Chuck Cadman.
         Lors d'une conférence de presse en compagnie de sa nouvelle députée ontarienne, le premier ministre Paul Martin a nié que ce recrutement "dans cette période si importante" vise seulement à assurer la survie de son gouvernement. "Il n'y a pas de doute que ça pourrait avoir un effet sur le vote de jeudi, mais ce n'est pas une démarche qui vise jeudi", a admis M. Martin, ajoutant qu'il "savait compter". "Mme Stronach a choisi de se tenir debout pour ce qu'elle considère être le meilleur pour le Canada (...) Elle a décidé de prendre les choses en main et c'est courageux", a poursuivi un premier ministre souriant.
         Assise à ses côtés, la convertie semblait plus nerveuse. Pour expliquer son choix, la nouvelle députée libérale a indiqué que "le pays doit passer avant tout". Elle a soutenu que le chef conservateur a démontré qu'il n'était pas sensible aux besoins de toutes les régions du pays. A son avis, le fait de forcer une élection avant que le Parti conservateur ne soit établi solidement au Québec risquait de renforcer le Bloc Québécois et de provoquer l'éclatement du Canada. "Je crois que de s'allier avec le Bloc pour défaire ce budget et déclencher une élection n'est pas une bonne chose pour le Canada", a expliqué Mme Stronach.
         Depuis la course au leadership conservateur, au début de l'année 2004, le chef conservateur, Stephen Harper, et Belinda Stronach ont entretenu une relation difficile. La députée ontarienne avait exprimé publiquement, il y a deux semaines, des réticences face à la stratégie des conservateurs de vouloir à tout prix renverser le gouvernement et forcer des élections ce printemps. En réaction à cette annonce surprise, le chef conservateur a minimisé l'impact de cette défection sur son parti, disant qu'il la voyait venir. Il n'a pu s'empêcher de décocher des flèches envers celle qui sera toujours demeurée son adversaire. "On n'est pas en présence de grands principes, a fait valoir M. Harper, visiblement contrarié. Ce n'est qu'une question d'ambition." Il a cependant avoué qu'il serait plus difficile de renverser le gouvernement.
         Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, arrivait lui aussi à cette conclusion. "C'est un vote de moins, et un vote de moins avec l'écart qui est là, bien sûr. Mais ce qui compte, à la fin, c'est d'avoir un vote de plus", a noté M. Duceppe, se disant encore confiant de faire tomber le gouvernement. A l'opposé, le chef néodémocrate, Jack Layton, se réjouissait de constater que les possibilités de voir le budget adopter s'étaient accrues.
         La défection de Mme Stronach n'a pas que des impacts sur le vote de jeudi. Le nouveau Parti conservateur, qui peine à faire une percée au Québec et à s'imposer en Ontario, perd ainsi l'une de ses vedettes, un de ses éléments fondateurs et probablement la voix la plus au centre de ses députés. Mme Stronach était populaire auprès des jeunes conservateurs et des Québécois, qui avaient d'ailleurs appuyé fortement sa campagne au leadership et entretenaient bien des espoirs à son endroit. Le départ de la blonde députée a aussi des effets sur la vie d'un député conservateur, le chef adjoint Peter MacKay. Les deux politiciens formaient un couple depuis quelques mois. Mardi, M. Mackay était absent des Communes, s'étant réfugié dans son bureau pour encaisser le coup. Aux dernières nouvelles, leur relation était en mode "pause". (PC  PHOTO / Jonathan Hayward)

Les Canadiens jugent gravement les effets du réchauffement de la planète (2005-Mai-15)
         MONTREAL (PC) - A l'exception des Albertains, peu de Canadiens croient que les informations faisant état du réchauffement de la planète et de ses effets sur l'environnement sont exagérées. Plus encore, un pourcentage significatif de Canadiens jugent même que les effets sont en réalité sous-estimés. Plus précisément, à peine 16 pour cent des Canadiens pensent que les informations au sujet des effets du réchauffement de la planète sont exagérées, indique un sondage Léger marketing, remis à la Presse Canadienne. Et 35 pour cent pensent même que ces informations sont sous-estimées.
         Au Québec, c'est seulement 10 pour cent de la population qui croit que ces informations sur le réchauffement de la planète sont exagérées. Le Québec est la province du pays la plus convaincue à cet égard. Les Albertains, grands producteurs de pétrole, font bande à part au Canada. Près du tiers, soit 31 pour cent, estiment que les informations sur le réchauffement de la planète et ses effets sur l'environnement sont exagérées. Dans toutes les autres provinces ou régions du pays, entre 10 et 19 pour cent seulement des gens croient qu'il y a exagération. C'est au Québec que l'on croit le plus les informations que l'on entend au sujet du réchauffement de la planète, puisque 55 pour cent des citoyens y jugent ces données exactes. Au Canada, ce sont 42 pour cent des citoyens qui penchent pour l'exactitude des faits rapportés.
         Les Canadiens, et surtout les Canadiennes, affirment être prêts à adopter certains comportements qui permettraient collectivement de combattre le réchauffement de la planète. Mais leur bonne volonté a tout de même ses limites. Par exemple, 75 pour cent des Canadiens interrogés se disent prêts à réduire leur vitesse de 10 kmh sur l'autoroute. Plus précisément, 81 pour cent des femmes sont ainsi prêtes et 68 pour cent des hommes. De même, 88 pour cent des Canadiens se disent prêts à ne pas laisser en mode de veille leurs appareils électriques. Mais la conscience sociale et environnementale a ses limites. Ainsi, seulement 44 pour cent des Canadiens se disent prêts à recourir exclusivement au transport en commun pour le travail. Le sondage a été mené du 20 au 27 avril 2005 auprès de 1501 personnes. La marge d'erreur maximale est de 2,6 pour cent, 19 fois sur 20.

L'effet de serre à nouveau confirmé (2005-Mai-04)
         Radio-Canada.ca : Il y a bel et bien un effet de serre atmosphérique dû à la pollution humaine. Une étude de la NASA montre en effet que notre planète absorbe plus d'énergie solaire qu'elle n'en émet, un déséquilibre qui le confirme. L'équipe de recherche de l'institut Goddard de la NASA en vient à ces conclusions après avoir analysé les données recueillies par ses satellites qui compilent les informations amassées par les stations climatologiques installées sur des bouées dans les océans ou dans des stations terrestres.
         Ainsi, les chercheurs estiment que la Terre retient 0,85 watt d'énergie de plus par mètre carré qu'elle n'en émet, du moins pour la période étudiée.
           Ce déséquilibre d'énergie est la preuve que les estimations scientifiques de l'impact de l'activité humaine sur le climat sont bien exactes, affirment les chercheurs.
           Des effets sur la température terrestre
         Cette accumulation d'énergie entraînera, si elle continue, un relèvement de 0,6 degré Celsius de la température médiane du globe d'ici la fin du siècle. Bien que paraissant modeste, cette quantité de chaleur supplémentaire, emmagasinée dans l'ensemble de la superficie du globe, aura un impact significatif sur le climat. L'effet de serre atmosphérique est provoqué par une accumulation de dioxyde de carbone (CO2), de méthane et d'ozone produits par la pollution humaine.

LA FAIM, ARME DE DESTRUCTION MASSIVE (2005-Avr-29)
           Par Claire Cousin, Métro Paris : Dans son nouveau livre, L'Empire de la honte (Fayard), Jean Ziegler, rapporteur spécial de l'ONU pour le droit à l'alimentation, analyse la façon dont les grandes compagnies privées soumettent les peuples, grâce à la dette et à la faim, "deux armes de destruction massive".
           Q - En quoi la situation d'injustice actuelle est-elle inédite ?
           R - Depuis que je suis en poste aux Nations unies, j'ai accès à une réalité insoupçonnée et terrifiante. Toutes les sept secondes, un enfant meurt de faim. Or la planète regorge de richesses. Alors que, selon un récent rapport de l'ONU, la production agricole actuelle pourrait nourrir 12 milliards d'êtres humains, 100 000 personnes meurent de faim chaque jour. Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, nous sommes sortis du royaume de la nécessité, grâce aux révolutions technologique et scientifique, et pourtant, jamais le massacre d'êtres humains ne s'est produit à une aussi grande échelle.
Il existe une
cellule secrète souter-
raine à la Maison-
Blanche chargée de
surveiller les cadres
des Nations unies.
JEAN ZIEGLER  
           Q - Qui sont les responsables de ces inégalités ?
           R - Il s'agit exclusivement d'un problème de distribution des richesses attribuable au monopole exercé par les seigneurs des sociétés transnationales privées comme Nestlé, Pechiney et consorts. Leur unique but est la maximalisation du profit. L'an dernier, les 500 plus grandes multinationales contrôlaient 52 % du produit planétaire brut.
           Q - Quel rôle a joué le 11 septembre 2001 ?
           R - Aujourd'hui le Programme alimentaire mondial ne reçoit que la moitié des subventions promises car les frais de sécurité sont devenus la priorité absolue.
         Or ces frais sont pris directement sur les budgets destinés à l'aide humanitaire d'urgence. Les Etats-Unis constituent le bras armé des féodaux. C'est le grand empêcheur de tourner en rond des Nations unies. Ils tentent actuellement de saper la réputation de Kofi Annan parce qu'ils veulent placer un général thaïlandais qui leur est favorable.
           Q - Dans votre livre, vous évoquez une surveillance des Nations unies par les Américains.
           R - Il existe en effet une cellule secrète souterraine à la Maison-Blanche chargée de surveiller les cadres des Nations unies. Leur pression est permanente. Rappelons également que Paul Wolfowitz a été nommé à la tête de la Banque mondiale et que Condoleezza Rice a dirigé la compagnie pétrolière Chevron.
           Q - De quels recours disposent les pays du Sud contre ce que vous appelez cette "machine à broyer"?
           R - Depuis janvier 2003, un ouvrier métallurgiste, Lula, est au pouvoir au Brésil. Il a lancé son programme Faim zéro. Seulement, la dette extérieure du pays est la deuxième du monde et le FMI continue à maintenir le garrot. Plus de la moitié du PNB appartient aux pays du Nord. C'est là que ça nous concerne, puisque les banques sont ici. C'est ici que l'insurrection des consciences est nécessaire pour apporter son soutien au programme de Lula. [www.amazon.fr]

La Grande Bibliothèque tiendra portes ouvertes au grand public les 30 avril et 1er mai prochains
(2005-Avr-27)
         La Bibliothèque nationale du Québec (BNQ) annonce officiellement que la Grande Bibliothèque ouvrira ses portes au grand public le samedi 30 avril 2005. Entre 20 000 et 30 000 visiteurs sont attendus au cours de cette fin de semaine, qui permettra à tous de parcourir les lieux et d'en découvrir les ressources. L'horaire de l'opération «portes ouvertes» sera de 10 h à 22 h le samedi 30 avril et de 10 h à 17 h le dimanche 1er mai. La Bibliothèque sera fermée le lundi 2 mai. Soulignons que le prêt de livres et de documents ne commencera que le mardi 3 mai. À compter du 3 mai, la Grande Bibliothèque sera ouverte du mardi au vendredi, de 10 h à 22 h, et la fin de semaine, de 10 h à 17 h. Elle sera fermée tous les lundis, à l'exception de la section Actualité et nouveautés (livres sur des sujets d'actualité, romans et autres oeuvres récemment publiées, sélection de classiques, une centaine de revues et journaux, nouveautés musicales et cinématographiques en disques compacts, etc.), située au rez-de-chaussée de l'édifice, qui sera quant à elle ouverte sept jours par semaine, et ce, jusqu'à minuit.
           La Grande Bibliothèque offrira aux Québécois, sur place, par Internet ou par prêt entre bibliothèques, un accès sans précédent à leur patrimoine ainsi qu'à la culture contemporaine d'ici et d'ailleurs. Dans ce nouvel espace, plus de 4 millions de documents, dont 1,2 million de livres, seront en accès libre. On y trouvera deux collections principales : la première, structurée en bibliothèques thématiques, est en grande partie destinée au prêt. La seconde, constituée de la collection patrimoniale québécoise (Collection nationale), devra être consultée sur place. L'édifice, d'une superficie de 33 000 mètres carrés, dispensera également des services spécialisés destinés à plusieurs clientèles, notamment aux jeunes, aux gens d'affaires, aux nouveaux arrivants, aux membres des communautés culturelles et aux personnes ayant un handicap visuel ou autre. La Grande Bibliothèque sera ainsi aux confluents des grandes tendances nord-américaines et européennes, agissant à la fois comme un grand centre de services d'information et comme lieu de culture (expositions, animation, auditorium, salles de conférences, etc.).
         Rappelons que la conception et la réalisation de l'édifice ont été confiées au consortium Patkau / Croft-Pelletier / Menkès Shooner Dagenais, architectes associés. Les coûts du projet, qui respectent l'ensemble des montants autorisés, ont été de 141,6 millions de dollars (97,6 millions $ pour la construction et les équipements; 44 millions $ pour l'architecture informatique, les nouvelles acquisitions de documents et le traitement documentaire des collections). Les travaux de construction, c'est-à-dire de la démolition de l'ancien Palais du commerce en juillet 2001 à la remise des clés de l'édifice, en décembre dernier, auront pris un peu plus de trois ans. [www.bnquebec.ca]

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