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L'offre d'appui du NPD ne semble pas avoir convaincu les libéraux (2005-Avr-22)
         OTTAWA (PC) - Les Canadiens qui craignent la tenue d'autres élections ne seront guère rassurés: les libéraux fédéraux ont continué d'ignorer, vendredi, une offre conditionnelle d'appui de la part du Nouveau Parti démocratique (NPD). Le chef néo-démocrate, Jack Layton, a offert de se ranger derrière le gouvernement minoritaire, mais seulement si les libéraux acceptent de modifier le dernier budget en laissant tomber leur promesse de réduire les impôts des sociétés. Si elle est acceptée, l'offre de M. Layton - qu'il a répétée jeudi soir à la télé - permettrait au caucus du NPD, composé de 19 membres, d'avoir une plus grande influence.
         "Nous voulons contribuer à faire passer un budget équilibré", a déclaré M. Layton sur les ondes des réseaux nationaux, quelques minutes après le message télévisé du premier ministre Paul Martin. "Je dis donc à Paul Martin: soumettez le budget au vote, éliminez les réductions-surprises d'impôts pour les sociétés et investissez cet argent dans les choses que les gens veulent." Mais les libéraux, officiellement du moins, semblent peu impressionnés par l'offre du NPD. "Nous sommes heureux de travailler avec tous les partis afin de trouver des moyens de faire fonctionner le Parlement, de le faire bien fonctionner", a déclaré Scott Reid, porte-parole de M. Martin, vendredi matin. "Mais s'il devait y avoir des discussions plus détaillées ayant trait à des sujets précis, ce sera fait par la voie parlementaire et non à travers les médias."
         L'opposition conservatrice et le Bloc québécois ont clairement laissé entendre qu'ils ont l'intention de faire tomber les libéraux bientôt. Ils avancent qu'à cause du scandale des commandites, les Libéraux n'ont plus l'autorité morale pour gouverner. A la Chambre des communes, le ministre des Finances Ralph Goodale n'a pas rejeté la possibilité d'une entente avec le NPD, mais il ne l'a pas accueillie à bras ouverts non plus. "Les principes du budget sont les principes du budget et nous n'y dérogerons pas", a déclaré M. Goodale, plus tôt dans la journée de jeudi, après que M. Layton a annoncé son offre pour la première fois. "S'il y a des questions techniques qu'il veut aborder, il me ferait plaisir de l'écouter."
         Des députés du PLC - surtout ceux de l'Ontario, où les conservateurs et le NPD tentent de gagner du terrain - reconnaissent toutefois en privé qu'il pourrait y avoir lieu de s'entendre. Certains d'entre eux affirment même que le bureau du premier ministre serait "fou" de refuser une telle "bouée de sauvetage" de la part des néo-démocrates. Publiquement, toutefois, les membres du cabinet se rangent derrière le budget de M. Goodale, avec les réductions d'impôts pour les sociétés. "Je pense que les Canadiens ont déjà indiqué que le budget est bien équilibré, en incluant les réductions d'impôts", a déclaré le ministre du Travail Joe Fontana, vendredi. [PC PHOTO / Tom Hanson]

Le Canada concentrera son aide à 25 pays les plus pauvres du monde (2005-Apr-19)
         OTTAWA (PC) - Le gouvernement canadien concentrera dorénavant son aide bilatérale dans 25 pays parmi les plus pauvres du monde. Tel est l'un des faits saillants de la nouvelle politique étrangère du Canada dévoilée aujourd'hui, à Ottawa, par le gouvernement libéral de Paul Martin. Seuls les pays dont le revenu annuel moyen par habitant est inférieur à 1000 $ US ont été susceptibles d'être choisis. La ministre de la Coopération internationale, Aileen Carroll, a ainsi précisé que d'ici 2010, au moins les deux tiers des activités d'aide bilatérale directe menées par l'ACDI seront concentrées dans 25 pays en développement, dont plus de la moitié se trouvent en Afrique.
         Selon Mme Carroll, en ciblant l'aide pour qu'elle profite aux personnes qui en ont le plus besoin, le Canada s'attardera à obtenir de meilleurs résultats. Parmi les 14 pays visés par le Canada en Afrique, figurent le Mali, le Niger, le Bénin, le Sénégal, le Cameroun, l'Ethiopie et le Burkina Faso. En Asie, le Canada concentrera son aide dans 6 pays dont le Vietnam et le Pakistan. Pour les Amériques, le choix s'est arrêté sur 4 pays, dont la Bolivie. En Europe, seul l'Ukraine bénéficiera de l'aide directe du Canada.
         Le premier ministre Paul Martin a par ailleurs décidé d'inscrire à ses priorités la reconstruction des liens quelque peu amoindris avec les Etats-Unis, mais aussi avec le Mexique. Quant au commandant de la Défense nationale, le Général Rick Hillier, il a confirmé que les 13 milliards $ consacrés à de nouvelles dépenses pour l'armée dans le dernier budget doubleront les capacités canadiennes à l'étranger d'ici cinq ans.

Ottawa, Québec et Kyoto (2005-Avr-14)
Ottawa plus clément envers les grands pollueurs
         Sylvain Larocque, Presse Canadienne : Le gouvernement de Paul Martin se montre moins exigeant envers les grands pollueurs dans son nouveau plan de mise en oeuvre du protocole de Kyoto, dévoilé mercredi. Pour atteindre ses objectifs, Ottawa devra donc recourir massivement aux fonds publics: plus de 10 milliards $ d'ici 2012. Le traité, ratifié par Ottawa en décembre 2002, prévoit que le Canada doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES), d'ici 2012, de 6 pour cent par rapport au niveau de 1990. Le plan confirme que les entreprises des secteurs des mines, de la fabrication, du pétrole, du gaz et de l'électricité thermique ne devront pas réduire leurs émissions de 55 mégatonnes par année, tel que convenu dans le plan fédéral de 2002, mais de seulement 39 mégatonnes. Quant à l'effort de l'industrie automobile, il sera limité à 5,3 mégatonnes par année, conformément à un accord volontaire qui vient d'être signé.
         «Au cours des deux dernières années, il est devenu apparent (...) que la réduction des émissions occasionnait des problèmes de compétitivité dans certains secteurs», soutient le gouvernement pour justifier l'abaissement des objectifs imposés aux entreprises. «Le Canada aura fort à faire pour atteindre sa cible de Kyoto», admet d'ailleurs Ottawa dans les documents rendus publics mercredi. Le Canada est le pays signataire de Kyoto qui a la tâche la plus difficile, souligne-t-on. Il faut toutefois préciser que Paul Martin a toujours prôné une atténuation des efforts demandés aux grandes entreprises.
Québec dénonce le plan fédéral
           Presse Canadienne : Québec juge inacceptable le plan fédéral de mise en oeuvre du Protocole de Kyoto, qui sera déposé cet après-midi. Le ministre québécois du Développement durable, Thomas Mulcair, déplore que le plan ne comprenne aucune compensation pour le Québec, la province canadienne produisant, per capita, le moins de gaz à effet de serre. Il soutient même que l'atteinte des objectifs canadiens de réduction de ces gaz se fait au détriment du Québec, et accuse Ottawa de présenter un plan lourdement biaisé en faveur des provinces de l'Ouest.
           M. Mulcair affirme que son homologue fédéral, Stéphane Dion, lui a déjà laissé miroiter la possibilité d'une entente bilatérale avec le Québec, qu'il a l'intention d'exiger. Le ministre québécois rappelle que le Québec a réduit sa production de gaz à effet de serre en industrie de 9,9% entre 1990 et 2002, en favorisant les sources d'énergie verte comme l'hydroélectricité. Il martèle que les efforts historiques du Québec doivent être compensés. M. Mulcair précise que récemment, le gouvernement fédéral n'a pas hésité à verser des milliards de dollars à Terre-Neuve-et-Labrador et la Nouvelle-Écosse, qui développent des sites pétroliers. Le ministre affirme que le Québec ne lâchera pas prise et enjoint son homologue fédéral de s'asseoir avec lui pour négocier sérieusement.
         Le nouveau plan «nous aidera à réussir dans l'économie durable et à aller de l'avant dans ce grand marathon qui portera le genre humain vers un développement plus compatible avec les capacités naturelles de notre planète», a assuré le ministre de l'Environnement, Stéphane Dion. Or, de 1990 à 2002, les émissions ont augmenté de 20 pour cent au pays. Si rien n'était fait, elles augmenteraient, d'ici 2010, de 36 pour cent par rapport à 1990 — et de 45 pour cent par rapport à la cible de Kyoto. Pour se rapprocher du but, Ottawa investira plus de 10 milliards $, d'ici 2012, afin de réduire les émissions canadiennes de 270 mégatonnes annuellement, soit 30 mégatonnes de plus que prévu en 2002, à cause de la détérioration de la situation ces dernières années.
         De 4 à 5 milliards $ de cette enveloppe iront à un «Fonds pour le climat» qui servira à acheter des «crédits de pollution» — visant à financer des projets de réduction des émissions — au pays et à l'étranger. Cette mesure doit conduire à des réductions de 75 à 115 mégatonnes par année. Hydro-Québec pourrait en profiter en construisant de nouveaux barrages, puisque cette méthode de production d'énergie est considérée propre, a indiqué un haut fonctionnaire, mercredi. Il reste à voir combien cela pourrait rapporter à la société d'État.
           Provinces et grand public
         De 2 à 3 milliards $ seront versés à un «Fonds du partenariat» dans lequel pourront puiser les provinces et territoires pour devenir moins polluants, par exemple en abandonnant les centrales thermiques au charbon, en construisant des pipelines de captage du charbon et en élargissant le réseau est-ouest de distribution d'électricité. Objectif: une réduction des émissions de 55 à 85 mégatonnes par an. Le hic, c'est que le gouvernement fédéral n'a toujours pas conclu d'ententes avec de nombreuses provinces, dont le Québec. «Le plan ne reconnaît pas les efforts investis jusqu'à présent au Québec», a d'ailleurs dénoncé le député Bernard Bigras, du Bloc québécois. Ottawa investira aussi des centaines de millions de dollars pour développer l'énergie éolienne et 120 millions $ de plus pour améliorer son «Défi d'une tonne», un programme de sensibilisation destiné au grand public. Le gouvernement promet aussi de montrer l'exemple en réduisant du tiers ses émissions annuelles de GES, qui sont actuellement de 3 mégatonnes.
         Les groupes écologistes se sont réjouis qu'Ottawa se soit finalement doté d'un plan pour Kyoto, mais ils n'ont pas tardé à le critiquer vertement. Selon eux, le Canada n'atteindra pas ses objectifs. «C'est un plan inéquitable envers la population canadienne, qui ne produit que 23 pour cent des émissions au pays, mais qui devra assumer les trois-quarts du fardeau de réduction», a déploré Steven Guilbault, de Greenpeace. «Encore une fois, les pollueurs les plus importants et les plus riches se sont servis de leur pouvoir économique pour éviter de faire leur devoir envers les générations futures», a commenté John Bennett, du Sierra Club du Canada.
         Même la grande entreprise a trouvé le moyen de s'opposer au plan, en faisant valoir que les dépenses gouvernementales à l'égard de Kyoto ont plus que doublé depuis le budget de février dernier. «Les entreprises canadiennes pourront difficilement être concurrentielles à l'échelle internationale car les autres pays n'ont pas fixé des objectifs aussi rigoureux — ou n'en ont fixé aucun», a estimé la présidente de la Chambre de commerce du Canada, Nancy Hughes Anthony. «Nous craignons sérieusement que ce plan ne ralentisse l'économie canadienne.»
         Le déclenchement probable d'élections précipitées, d'ici quelques semaines, pourrait cependant nuire à la mise en oeuvre des intentions du gouvernement. Les conservateurs ont néanmoins promis mercredi de respecter le protocole de Kyoto s'ils étaient portés au pouvoir, ce qui constitue une volte-face. [Cyberpresse.Ca]

Les avocats des Innus, de Kruger, de Québec et d'Ottawa discutent (2005-Avr-08)
         MONTREAL (PC) - Les représentants des Innus de Betsiamites, sur la Côte-Nord, retrouvent ceux de la papetière Kruger et des gouvernements du Québec et du Canada, ce matin (vendredi) au Palais de justice de Montréal. Il s'agit en fait d'une conférence préparatoire en vue de l'audience sur le fond, qui aura lieu à la mi-mai. Aucun point de droit ne devrait donc être débattu aujourd'hui.
         Le chef de la Première nation innue de Bestiamites, Raphaël Picard, réclame l'arrêt des activités forestières de la compagnie, qu'il accuse de dévaster la forêt de l'île René-Levasseur. Les 4000 membres de la communauté de Bestiamites estiment que l'exploitation forestière que fait la compagnie depuis 1997 viole leurs droits ancestraux. Leur chef réclame que les autochtones soient impliqués dans le processus décisionnel de Québec dans l'octroi de contrats d'aménagement et d'approvisionnement forestier.
         Le 15 février, à la demande de la juge Carol Cohen, de la Cour supérieure, les représentants de Kruger avaient pris l'engagement formel de ne procéder à aucune opération forestière sur l'île René-Levasseur avant que la requête en injonction interlocutoire - l'audition sur le fond - soit entendue, le 16 mai prochain. Selon le chef Picard, les Innus et la compagnie Kruger sont les victimes de la décision politique du gouvernement de Jean Charest de ne pas négocier et de forcer les parties à recourir aux tribunaux. Une décision favorable à la partie demanderesse signifierait, à court terme, la mise à pied de 750 employés de Kruger sur la Côte-Nord et de 300 autres à Trois-Rivières. [Sympatico.Msn.Ca]

Family feud @ Long Beach, USA (2005-Apr-03)
Community leaders, volunteers work on parade plan; others protest.
         By Greg Mellen, Staff writer : LONG BEACH - They are two faces of a people. On Tuesday night, Cambodians held a weekly meeting inside the Homeland Cultural Center at MacArthur Park to go about the business of final preparations for the city's first Cambodian New Year's Day parade. Outside, Cambodians carried flickering candles and circled the front of the building in silent protest of the parade, fearing the awful memories could stir, bitter that those inside insist on holding the event on a day, April 17, that represents their deepest sorrow. (...)
         Sadly, the coincidence has caused a serious confrontation between the planners of the parade, who intended only to prolong the New Year celebration, and others who take affront at the timing. The opponents say the slaughters by the Khmer Rouge are to be detested and mourned, not celebrated, and they are right. In that sense, the timing is wrong. Two local Cambodian newspapers have attacked the parade plan, one of them with a lurid illustration of the skulls representing the many victims of the Khmer Rouge atrocities. But a dozen Cambodian groups were represented in the planning, and the councilwoman of the district, Laura Richardson, whose office coordinated the efforts, stands firmly behind their decision (too firmly, in our judgment). The two sides are in a standoff. They ought to be in a collaboration. Cambodian politics are passionate, but this isn't about politics. It's about a nation whose people, nearly destroyed, survive, some of them in a foreign land.
That's cause for honor and respect to be duly paid to the victims of the atrocities, but it's also cause for celebration. On that, both sides could agree. The Cambodian New Year deserves a second day of celebration, much like it's done in the homeland. A parade, both reflective and celebratory in tone, could be fitting. But first, people representing all factions of the Cambodian community must sit down together and plan, with a common purpose. And with the help of a supportive City Hall. [The Press Telegram]

           N.P. : Au Canada, comme aux USA, c'est la loi et la démocratie qui règnent. Les citoyens choisissent dans des élections municipales le maire et les conseillers. C'est aux élus municipaux de voir s'ils perdraient ou gagneraient la prochaine élection, mais c'est aussi aux citoyens de démontrer qu'ils ont vraiment un poids électoral.

Addendum :  Does celebrating on a April 17 insult Cambodians ?
Sovathana Sokhom : We have to be able to forgive each other.
Kelvin So : We left our heart in Cambodia but we found our freedom in America.
Hann So : Celebrating April 17 means that the people celebrate the victory of the Khmer Rouge and support the Khmer Rouge directly or indirectly.
M. Preuk : It's not a choice, it's an obligation, it's a duty to our loved ones who perished under the Khmer Rouge.
Sacrava : April-17 for Khmer people is September-11 for American people.
N.P. : If one cannot celebrate right on date, one always do it before the date, never after the date !

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(nearovi@sympatico.ca)