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Le Canada impose des millions $ de sanctions commerciales aux Etats-Unis (2005-Apr-01)
         OTTAWA (PC) - Le Canada a décidé de montrer les dents envers son plus grand partenaire commercial en lançant des représailles sur l'importation de biens des Etats-Unis. A partir du 1er mai 2005, le Canada imposera des sanctions de 15 pour cent sur les porcs vivants, les cigarettes, les huîtres et certains poissons de spécialité en provenance du voisin américain. Ces représailles représentent l'étape la plus récente de l'affrontement commercial qui perdure entre les deux voisins. Le Canada conteste une mesure commerciale américaine connue sous le nom d'amendement Byrd. Cette loi permet aux compagnies américaines, non seulement de profiter des sanctions antidumping ou des droits compensatoires imposés sur les importations canadiennes, mais également d'encaisser des sommes d'argent perçues par le gouvernement américain à la suite de l'imposition de ces pénalités. L'enjeu est de taille, puisque si le Canada n'arrive pas à convaincre les Etats-Unis de retirer cette loi, ce sont les 4,3 milliards $ que les compagnies canadiennes ont versés en droits compensatoires ou antidumping qui pourraient être hors de portée de l'industrie canadienne du bois. Les Américains estiment que cette somme reviendra, à cause de l'amendement Byrd, à son industrie du bois lorsque le conflit sera terminé.
         De Whistler, en Colombie-Britannique, le premier ministre Paul Martin a indiqué que les mesures annoncées n'étaient que l'amorce d'une bataille contre une loi d'un "protectionnisme extrême" que le Canada n'acceptera jamais. "Il s'agit d'un début, d'un début pour le Canada et d'un début pour les autres pays aussi, a-t-il souligné en point de presse. Nous allons prendre toutes les mesures nécessaires." Le Canada n'a pas lancé seul son attaque contre le puissant joueur commercial. L'annonce, jeudi, des mesures de rétorsion du Canada est survenue au moment même où l'Union européenne adoptait des mesures similaires. On s'attend à ce que les autres pays qui font partie de la coalition formée à cet effet (le Brésil, le Japon, le Mexique, l'Inde, le Chili et la Corée du Sud) emboîtent le pas sous peu. "Lorsqu'on considère que les huit pays qui contestent l'amendement Byrd, l'Union européenne et le Canada y compris, représentent environ 71 pour cent des exportations américaines, je crois que nous envoyons un message fort aux Etats-Unis qu'ils doivent respecter les règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC)", a fait valoir le ministre du Commerce international, Jim Peterson, lors d'un point de presse à Toronto.
         L'OMC a déclaré illégal, il y a plusieurs mois, l'amendement Byrd et autorisait les pays de la coalition à appliquer des représailles. Pour le Canada, les représailles permises par l'OMC peuvent s'élever jusqu'à une valeur de 14 millions $ par année, une somme qui semble à première vue bien petite face à l'imposante cagnotte de 4,3 milliards $ récoltée dans le conflit du bois d'oeuvre. Mais les représailles canadiennes comportent un aspect politique non négligeable. En choisissant les produits visés par les sanctions, Ottawa a mis dans la balance l'impact qu'elles auront sur des politiciens américains ouvertement protectionnistes. "Nous avons pris en considération les Etats qui supportent l'amendement Byrd ou le conflit du bois d'oeuvre, a admis M. Peterson. Par exemple, les cigarettes auront un impact important sur la Caroline du Nord." La décision d'Ottawa a été applaudie autant par des représentants de l'industrie du bois d'oeuvre que par l'opposition qui réclamaient, depuis quelque temps déjà, l'adoption de la ligne dure face aux Américains qui faisaient la sourde oreille. Pour Carl Grenier, porte-parole du Conseil pour le libre-échange du bois d'oeuvre, il s'agit d'un premier pas qui envoie un message clair. "C'est un signal important qu'on envoie aux Etats-Unis, a-t-il commenté. On sait qu'il est plutôt rare que le Canada se lance dans des représailles commerciales."
         Du côté du Bloc québécois, le critique en matière du commerce, Pierre Paquette, a fait valoir qu'il était plus que temps que le Canada change de stratégie puisque l'approche des dernières années ne semblait pas avoir eu de résultats. "Il était temps que le Canada lève un peu le ton vis-à-vis les Etats-Unis, et je pense que ça va avoir un impact dans le conflit du bois d'oeuvre, a noté M. Paquette. Les Américains vont voir que le Canada est capable de se tenir un peu ce qui n'a pas été le cas au cours des derniers mois."

Earth has suffered irreversible damage : study (2005-Mar-31)
         CTV.ca News Staff : Humans are damaging the Earth at such an unprecedented rate that the strain on the planet may destroy about two-thirds of its ecosystem services, according to a landmark international study. The consequences of humans' activities are severe and include: new diseases, sudden changes in water quality, creation of "dead zones" along the coasts, the collapse of fisheries, and shifts in regional climate, according to the Millennium Ecosystem Assessment Synthesis Report. "At the heart of this assessment is a stark warning," said the 45-member board. "Human activity is putting such strain on the natural functions of Earth that the ability of the planet's ecosystems to sustain future generations can no longer be taken for granted," it said.
         The four-year, 2,500-page assessment was drawn up by 1,300 researchers from 95 nations in an effort to inform global policy initiatives. Scientists warn that about 60 per cent of the ecosystem services that support life on Earth, such as fresh water, air and water regulation and natural hazards, are being destroyed. The report warns that the consequences of this degradation of the environment will significantly worsen over the next 50 years. "Any progress achieved in addressing the goals of poverty and hunger eradication, improved health, and environmental protection is unlikely to be sustained if most of the ecosystem services on which humanity relies continue to be degraded," said the study. The report says humans have changed ecosystems more rapidly in the past 50 years than any other period.
         "This was done largely to meet rapidly growing demands for food, fresh water, timber, fiber and fuel," a statement said, adding that this resulted in an irreversible loss of life on Earth, with some 10 to 30 per cent of mammal, bird and amphibian species threatened with extinction currently. The changes in the ecosystem are owing to humans' efforts to meet rapidly growing demands for food, fresh water, timber, fibre and fuel, the report says. "More land was converted to agriculture since 1945 than in the 18th and 19th centuries combined," according to the report's authors. "More than half of all the synthetic nitrogen fertilizers, first made in 1913, ever used on the planet has been used since 1985." And the current state of affairs is likely to be an obstacle to meeting the Millennium Development Goals agreed to by world leaders at the United Nations in 2000, the report says.
         "The over-riding conclusion of this assessment is that it lies within the power of human societies to ease the strains we are putting on the nature services of the planet, while continuing to use them to bring better living standards to all," said the MA board of directors in a statement. "Achieving this, however, will require radical changes in the way nature is treated at every level of decision-making and new ways of cooperation between government, business and civil society. The warning signs are there for all of us to see. The future now lies in our hands." In a message launching the reports, United Nations Secretary General Kofi Annan said the environment can only be protected by understanding how it works. "Only by valuing all our precious natural and human resources can we hope to build a sustainable future," Annan said.
         Other warnings:
         - Deforestation influences the abundance of human pathogens such as malaria and cholera
         - Scientists project there will be progress in eliminating hunger but at rates too slow to halve the number of the hungry by 2015.
         - It is the world's poorest people who suffer the most from changes to the ecosystem.
         - Only four ecosystem services have been improved in the past half-century. These include: increased crop, livestock and aquaculture production, and increased carbon sequestration for worldwide climate regulation.

         The Millennium Ecosystem Assessment's work was prepared under the supervision of a 45-member board of directors, co-chaired by Dr. Robert Watson, chief scientist of The World Bank, and Dr. A. Hamid Zakri, director of the United Nations University's Institute of Advanced Studies.

           Dr David Suzuki : We are having parties with the resources which should belong to our grand-children and grand-grand-children.

Les Grands Lacs menacés par des envahisseurs
(2005-Mar-30)
Des scientifiques américains profitent de l'ouverture annuelle de la voie maritime du Saint-Laurent pour rappeler que l'écosystème des Grands Lacs est toujours menacé par les espèces envahissantes. Les biologistes dénoncent l'inefficacité des mesures qui visent à empêcher l'introduction d'espèces aquatiques par l'eau de ballast des navires océaniques. Plus de 180 espèces aquatiques exotiques ont été introduites dans les Grands Lacs depuis l'ouverture de la voie maritime du Saint-Laurent dans les années 50. On estime qu'une nouvelle espèce fait son apparition tous les huit mois.

L'inaction des gouvernements dénoncée
Les chercheurs du Centre des ressources naturelles des Grands Lacs du Michigan dénoncent l'inaction des gouvernements canadien et américain dans le dossier.


La moule zébrée,
espèce introduite nuisible

Le porte-parole du centre, Jordan Lubetkin, estime qu'il est inacceptable de ne pas avoir fait plus de progrès depuis que la moule zébrée a été découverte, il y a 15 ans. Une douzaine d'espèces qui ravagent les estuaires européens risquent à tout moment de faire leur apparition dans les Grands Lacs. M. Lubetkin affirme qu'il faut investir pour protéger les pêches industrielle et sportive qui rapportent plus de 4 milliards de dollars par année à l'ensemble de la région. Il évoque particulièrement la possibilité de traiter les eaux de ballast. [Radio-Canada.Ca]

Roméo Dallaire, général et sénateur (2005-Mar-25)
Dallaire fait son entrée au Sénat et trois autres siégeront dans l'opposition
           OTTAWA (PC) - Le général à la retraite, Roméo Dallaire, connaît bien le Sénat, lui qui a fait des présentations devant des comités sénatoriaux à de nombreuses reprises. Mais fini le rôle de témoin puisque dès le 12 avril, il deviendra officiellement sénateur. Le premier ministre Paul Martin a confirmé cette nomination, jeudi, en plus de huit autres nouveaux sénateurs. Voulant faire preuve d'ouverture face aux partis d'opposition, deux des neuf candidats siégeront comme progressistes-conservateurs, et un comme néodémocrate. Seul hic, les nouveaux sénateurs "progressistes-conservateurs" ne sont pas des conservateurs tout court, ce qui leur aurait permis de faire partie du caucus du parti de Stephen Harper. Quant au Nouveau Parti démocratique (NPD), il n'a pas l'intention d'ouvrir les portes de son caucus à la nouvelle arrivée, une militante des droits des femmes et des autochtones, Lillian Dyck.
         "Nous aurions accueilli Mme Dyck les bras grands ouverts en tant que membre de notre caucus si elle s'était présentée aux dernières élections et si elle avait été élue en tant que candidate du NPD", a déclaré le chef du NPD, Jack Layton, qui a rappelé que son parti est en faveur de l'abolition du Sénat. Le premier ministre a offert une brève réponse pour expliquer ces choix. "C'est assez rare qu'un gouvernement libéral nomme des membres de l'opposition, a tenu à souligner M. Martin. C'est ce que nous avons fait. Ça va être des sénateurs qui vont siéger dans l'opposition, ils ne siégeront pas dans le caucus libéral."
         En choisissant trois sénateurs qui iront grossir les rangs de l'opposition au Sénat, le premier ministre Martin ne prend pas beaucoup de risques puisque les libéraux détiennent une écrasante majorité dans la Chambre haute. Aux 58 sénateurs libéraux actuels, s'ajoutent donc six nouveaux membres nommés également jeudi. Outre M. Dallaire (du Québec), on compte aussi l'ancien ministre de la Défense, Art Eggleton (de l'Ontario), qui avait été écarté du cabinet de Jean Chrétien après que les médias aient fait état de contrats accordés à sa petite amie. M. Martin lui était redevable puisque M. Eggleton avait accepté de se retirer avant la dernière élection afin de faire place au candidat vedette de l'équipe Martin, Ken Dryden. Chez les libéraux, James Cowan (Nouvelle-Ecosse), Robert Peterson (Saskatchewan), l'ancien chef libéral provincial de l'Alberta Grant Mitchell, et Claudette Tardif (Alberta) accèdent aussi au Sénat. Il y a encore sept sièges vacants au Sénat et le premier ministre a indiqué qu'il avait l'intention de procéder à des nominations dans les semaines prochaines.
         Dallaire veut faire une différence
         Joint à son domicile, M. Dallaire était ravi qu'on lui ait offert cette expérience qui lui permettra de continuer à faire avancer des sujets qui lui tiennent à coeur. "J'avoue que je suis très heureux, a-t-il lancé. Heureux de maintenant pouvoir servir à l'intérieur de la structure gouvernementale au lieu de le faire, depuis cinq ans maintenant, de l'extérieur en tentant de l'influencer." Le général Dallaire a commandé les troupes des Nations unies au Rwanda lors du génocide, il y a 11 ans. Il a été honoré récemment en recevant des mains de la gouverneure générale du Canada, Adrienne Clarkson, la 25e médaille Pearson pour la paix. Le général a gagné la sympathie du public parce qu'il a accepté de partager ses états d'âmes face aux horreurs vécues au Rwanda au moyen d'un livre et d'un documentaire, tous deux intitulés "J'ai serré la main du diable".
         Depuis son retour au pays, il profite de toutes les tribunes pour sensibiliser le public au sort de l'Afrique et pour pousser les pays à investir argent et ressources dans ce continent. "Je me suis donné un devoir, quand je suis parti du Rwanda, de ne jamais laisser le génocide rwandais mourir" dans la mémoire collective, afin qu'un tel massacre ne se répète jamais, a expliqué M. Dallaire. Au Sénat, l'ex-militaire entend bien soulever le sort des enfants soldats, l'importance d'un nouveau concept de résolution de conflits internationaux et "tenter d'être une influence positive dans des décisions comme le Darfour ou des interventions dans des situations difficiles".
         Au Québec, il reste trois sièges à combler au Sénat. De ce nombre, des sources indiquent que le premier ministre devrait choisir un membre de la communauté juive pour remplacer le sénateur Léo Kolber, maintenant à la retraite. M. Martin serait aussi à la recherche d'un candidat qui pourrait jouer un rôle actif d'organisation sur le terrain pour l'est du Québec. Depuis l'élection de juin, on ne trouve que deux députés libéraux à l'est de la rive sud montréalaise.      (CP PHOTO / Fred Chartrand)

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