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Norodom Sihanouk serait un parfait Canadien (2005-Mar-23)

1 in 6 Canadians victims of racism : poll (2005-Mar-21)

         CTV.ca News Staff : A new poll is challenging the view of Canada as a tolerant and open society, as close to four million Canadians report being the victims of racism. The Ipsos-Reid poll, released Monday, found that one in six adults, or 17 per cent of those surveyed, said they had experienced racism personally. Perhaps the most surprising finding of the poll was that seven per cent, or 1.7 million Canadians, would not welcome someone of another race as a next-door neighbour. As well, 13 per cent (3.1 million Canadians) said they would never marry or have a relationship with a person of another race, and 15 per cent (3.4 million Canadians) said skin colour makes a difference in their workplace.
         "I think that is a horrible shame," said Rudyard Griffiths, the executive director of the Dominion Institute, which commissioned the survey. "We should be treating each other as fellow citizens with respect and tolerance, interested in each other's opinions -- not seeing each other through the lens or filter of race." The survey was conducted to mark International Day for the Elimination of Racial Discrimination. Griffiths said it shows that Canada needs to work on being a more tolerant multicultural nation. "Maybe as a country, we've been too quick to see racism and discrimination as problems that other countries are forced to deal with," Griffiths told CTV.ca. "But I think at the same time, we've got to remind ourselves that this is a persistent and ongoing challenge that we face as a country and we've got to remain vigilant."
         According to the poll, Canadians believe the groups most targeted by racism in their community are:          The poll also found that 17 per cent believed racism was on the rise in their community. Another 13 per cent believed racism had decreased, while the majority said it had neither increased nor decreased. Most of those surveyed said the best way to combat racism is by promoting racial tolerance in schools. Griffiths agrees with that assessment. "The beautiful thing we all know about children is that when it comes to race, young children are largely colour-blind, and that this is a learned behaviour," he said. "If it's a learned behaviour, hopefully it's behaviour that can be unlearned."
         As the poll was released Monday, NDP MP Libby Davies introduced a bill in Parliament calling on the federal government to ban racial profiling from all federal departments. The bill would require ministers of various departments to report back to Parliament on the activities of their ministries. Federal agencies would also have to create policies to eliminate such profiling. It was supported by all opposition parties. Conservative MP Gurmant Grewal joined Davies at the news conference. "I think we should emphasize to unite Canada, unite Canadians and celebrity our similarities, not differences," Grewal said.

           The Ipsos-Reid poll was conducted between March 15 and 17. A randomly selected sample of 1,001 Canadians were surveyed by telephone. Results are considered accurate to within plus or minus three percentage points, 19 times out of 20.

Les deux accusés dans l'affaire de l'attentat d'Air India sont acquittés (2005-Mar-16)
         VANCOUVER (PC) - Deux Sikhs ont été acquittés, mercredi, dans l'affaire de l'attentat d'Air India qui avait causé la mort de 329 personnes le 23 juin 1985 - la pire tuerie collective de l'histoire du Canada. Ripudaman Singh Malik et Ajaib Singh Bagri ont été déclarés non coupables mercredi par le juge Ian Josephson de la Cour suprême de la Colombie-Britannique. Les deux hommes ont été acquittés des huit accusations qui pesaient contre chacun d'eux, dont celle de meurtre au premier degré et complot pour meurtre. Les bombes provenaient effectivement de Vancouver, a déclaré le juge Josephson, mais près de vingt ans après leur explosion, les autorités canadiennes n'ont toujours pas résolu l'affaire. Les deux accusés ont passé plus de quatre ans en détention depuis leur arrestation.
         Ajaib Singh Bagri, âgé de 55 ans, de Kamloops, en Colombie-Britannique, a rédigé une déclaration, lue hors du tribunal par sa fille, dans laquelle il nie avoir été impliqué dans ces activités criminelles. Il ajoutait que l'attentat contre le vol 182 d'Air India avait profondément divisé la communauté sikhe, et disait espérer que celle-ci puisse désormais entreprendre un processus de guérison. Ripudaman Singh Malik, 58 ans, a été emmené en voiture à sa sortie du tribunal, et n'a pas commenté le verdict. Geoffrey Gaul, un porte-parole de la Couronne, a déclaré que les procureurs étudieront le jugement avant de décider s'il y aura appel. Ils ont 30 jours pour le faire. Au bout du compte, le sort de Malik et Bagri reposait sur les déclarations d'une poignée de personnes ayant témoigné contre eux au procès, tenu devant juge seul. Le magistrat a estimé que ces témoins n'avaient pas de crédibilité.
         Malik et Bagri étaient accusés d'avoir fait exploser un avion parti de Vancouver à destination de Bombay en passant par Toronto, Montréal et Londres, dans le cadre d'un complot motivé par une vengeance religieuse, après l'attaque de l'armée indienne contre le Temple d'or d'Amritsar, lieu saint du sikhisme, en juin 1984. Un troisième accusé, Inderjit Singh Reyat, avait pour sa part plaidé coupable à une accusation d'homicide involontaire pour son rôle dans l'attentat contre le Boeing 747 d'Air India. Reyat, de Duncan, en Colombie-Britannique, a écopé d'une peine supplémentaire de cinq ans d'emprisonnement, en plus des dix ans infligés pour homicide involontaire et accusations reliées à l'emploi d'explosifs. La Couronne avait fait valoir qu'après l'attaque du Temple d'Amritsar, l'importante communauté sikhe de Vancouver était en colère, ce que les individus au coeur du complot ont exploité.

Ajaib Singh Bagri avec sa fille,
à Vancouver, mercredi.
(Photo De CP / Richard Lam)
         Selon la Couronne, les deux hommes appartenaient à des groupes, interdits depuis au Canada, qui accusaient le gouvernement indien de maltraiter les Sikhs. Le cerveau présumé du complot était Talwinder Singh Parmar, ont affirmé les procureurs au procès. Comme plusieurs autres conspirateurs, Parmar est mort. Il a été tué au cours d'une fusillade avec la police indienne en 1992. Malik et Bagri avaient aussi été accusés relativement à une explosion survenue à l'aéroport japonais de Narita, qui avait coûté la vie à deux manutentionnaires le même jour de 1985. Ils ont également été acquittés de ces accusations. En l'absence de preuves solides reliant Malik et Bagri aux attentats, le juge Josephson a dû se baser sur la crédibilité des témoins ayant témoigné contre eux. Il a décidé que la majeure partie de leurs témoignages n'étaient pas crédibles.
         Les membres des familles des victimes ont commencé à pleurer et à s'étreindre lorsque le juge a rendu son verdict. Alors que des proches des victimes réclament une enquête publique sur la façon dont l'enquête sur l'attentat a été menée, la ministre de la Sécurité publique, Anne McLellan, a estimé qu'il était trop tôt pour faire connaître sa réaction au jugement ou prendre une décision sur la demande d'enquête publique. "Nous venons juste de passer à travers un procès de plus d'un an", a-t-elle déclaré à Edmonton. La décision d'en appeler ou non devra être prise par le procureur général de Colombie-Britannique, a-t-elle dit. L'enquête sur les attentats a rencontré plusieurs obstacles. Des notes et des informations importantes ont été détruites par le Service canadien du renseignement de sécurité au lieu d'être partagées avec la Gendarmerie royale du Canada, alors que les deux organisations se livraient une guerre de territoire.
         Au cours du procès, le juge a d'ailleurs qualifié de "négligence inacceptable" la destruction de preuves par le Service canadien du renseignement de sécurité. [Sympatico.Msn.Ca]

ITINÉRANCE : Honorer la mémoire des disparus (2005-Mar-15)
         Métro : À Montréal hier coin Bleury et De Maisonneuve et en parallèle à Paris aujourd'hui, on cherche à briser l'anonymat entourant le décès des itinérants. Cinquante-six personnes en situation d'itinérance sont décédées à Montréal depuis janvier 2004, selon le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM).
           "Je voudrais changer notre regard... Ce regard qui fait qu'on s'invente des histoires, des scénarios pour ne pas souffrir en regardant les exclus de la société", confie Dan Bigras, porte-parole de l'événement, qui veut susciter une réflexion sur l'itinérance.
         "Il faut faire bouger le gouvernement. Et si le gouvernement ne sait pas quoi faire, il faut donner les moyens nécessaires au milieu communautaire. Il n'y a pas le centième des ressources suffisantes dans les écoles et dans les centres jeunesse." Le coup d'envoi de l'événement d'hier a été donné par l'allumage des braises de l'oeuvre Les incendiaires du sculpteur André Fournelle. Placés sur trois rangées, neuf lits métalliques étaient ainsi recouverts de braises de charbon. Le projet repose sur la représentation de la lumière, non seulement en tant que feu qui brille, mais avant tout comme une matière intimiste, c'est-à-dire le feu qui éclaire et réchauffe.

Dessin imitant la photo de
Julie Bonin / Métro

La CASSEE dénonce (2005-Mar-12)
Québec veut négocier une "entente à rabais"

         MONTREAL (PC) - Le ministre provincial de l'Education, Jean-Marc Fournier, souhaite négocier une "entente à rabais" avec les étudiants actuellement en grève, a dénoncé la Coalition de l'Association pour une solidarité étudiante élargie (CASSEE), samedi, lors d'une manifestation à Montréal. "Le ministre essaie clairement de nous éloigner de la table des négociations parce que nos revendications sont larges, qu'on est très déterminés à les défendre, et puis il veut négocier une entente à rabais avec les fédérations étudiantes", a affirmé Xavier Lafrance, porte-parole de la CASSEE.
         "Nous, on invite tout le monde à s'asseoir autour de la table lors de nos congrès sur la base du principe démographique. Personne ne doit négocier avec le gouvernement sans que ne soit consulté l'ensemble des assemblées générales et des associations étudiantes en grève, parce que ce sont elles qui établissent le rapport de force qui va nous permettre de faire des gains."

         Des négociations pourraient s'amorcer vers la fin de la semaine prochaine entre M. Fournier et les fédérations étudiantes, a confirmé vendredi l'attaché de presse du ministre, Stéphane Gosselin, précisant que des communications quotidiennes avaient déjà lieu avec la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). La CASSEE est cependant tenue à l'écart. Cette semaine, le ministre a rompu les liens avec les représentants du regroupement, ces derniers ayant refusé de condamner les actes de violence commis à son bureau de circonscription, à Châteauguay. Samedi après-midi, plusieurs centaines d'étudiants ont manifesté dans les rues de Montréal afin de protester contre la réforme du régime de prêts et bourses décidée par le gouvernement du premier ministre Jean Charest, qui a supprimé 103 millions $ de bourses afin de les transformer en prêts.
         La CASSEE, organisatrice du rassemblement au carré Dorchester et de la marche subséquente dans les rues du centre-ville, a estimé à 1500 le nombre des protestataires, au tout début de l'événement. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a préféré taire sa propre estimation de la foule, tout comme d'ailleurs le nombre des policiers dépêchés sur les lieux. La manifestation s'est déroulée dans une ambiance bon enfant plus proche de celle des désormais célèbres tam-tams ayant lieu chaque été au pied du mont Royal que de celle d'un rassemblement de protestataires en colère. La neige qui tombait doucement, mais constamment, et la marijuana dont on pouvait parfois respirer les effluves y étaient sans doute pour quelque chose.
         Venus d'un peu partout au Québec, mais essentiellement de Montréal et des régions environnantes de la Montérégie, de Lanaudière et des Laurentides, les étudiants, auxquels s'étaient greffés enseignants, parents et enfants, n'en ont pas moins fait valoir avec vigueur leur point de vue. "On veut étudier, on veut pas s'endetter", ont-ils scandé à maintes reprises en brandissant des pancartes sur lesquelles il était possible de lire "L'éducation est un droit, pas un luxe", "Hypothéquer notre avenir? Non merci!" ou encore "Charest endette une génération en coupant 103 millions de prêts et bourses". Lors d'un point de presse ayant précédé la marche, M. Lafrance a estimé que le mouvement de grève entamé le 24 février, et auquel prennent désormais part quelque 85 000 étudiants des niveaux secondaire, collégial et universitaire, rapporterait davantage qu'il ne pourrait coûter.
         "L'histoire démontre que la grève illimitée étudiante - il y en a eu sept avant celle-ci - a pu être très efficace pour défendre le droit à l'éducation. Si moi et les gens de ma génération avons droit à une éducation plus accessible qu'ailleurs au Canada, c'est parce que les gens de la génération de mes parents se sont battus pour ça", a-t-il déclaré. "Ca fait des mois qu'il y a escalade des moyens de pression. Plusieurs actions, manifestations, ont eu lieu. Durant cette période, le gouvernement nous a méprisés, nous a ignorés, mais maintenant, enfin, il commence à vouloir discuter. Il reconnaît le problème de plus en plus, et ce n'est pas pour rien, c'est parce qu'il y a des dizaines de milliers de personnes en grève." (CP/ Photo Jacques Boissinot)

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