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Formation of the National Council in charge of Border Affairs
(2005-Apr-21)
Khmerintelligence.org : On 20 April 2005, Prime Minister Hun
Sen wrote a letter to the Presidents of the three political parties represented
at the National Assembly asking them to appoint a representative to the
to-be-formed “National Council in charge of Border
Affairs”, whose composition will be as follows:
- 1 member (Chair) appointed by the King.
- 1 member (Vice-Chair) appointed by the President of the Senate.
- 1 member (Vice-Chair) appointed by the President of the National Assembly.
- 1 member appointed by the Prime Minister.
- 1 member appointed by the CPP.
- 1 member appointed by Funcinpec.
- 1 member appointed by the SRP.
April 17th : Personally...
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Ma cousine : S'ils nous obligeaient
de faire la rizière seulement, on l'acceptait. Mais là, ils
nous tuaient. Nous faire travailler sans donner suffisamment à manger
c'était nous tuer.
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Une vieille amie : A Paris plusieurs associations organisent une manifestation
pour commémorer le génocide, demain. J'ai été
invitée au sénat à une réunion organisée
par Rithy Panh, des gens de l'INA et du ministère de la culture.
Cette réunion correspond à l'inauguration d'un centre de
documentation audio-visuel sur les archives du Cambodge (avant 1975), ce
centre devrait ouvrir à Phnom Penh et permettre à des jeunes
de se former aux métiers du cinéma. Mr. Khin Sok, professeur
à l'INALCO, a été invité par mon prof de khmer
à présenter la musique traditionnelle et différents
rituels aujourd'hui disparus. Tu vois, il y a encore quelques personnes
qui essaient de restaurer le peu de culture khmère qui reste en
mémoire, pour les jeunes générations. Je termine juste
avec une pensée pour tous ceux qui ont disparu entre 1975-79, en
particulier les membres de ta famille. [G. C.] |
New Year : Angels' conversation (2005-Apr-11)
H.C. 2005 : Holy Macaroni! Cambodia is that dry and that
hot? You Monkey, you have not done your job! You're doing nothing but eating!
H.M. 2004 : I ought to eat a lot and make reserve for the
next 12 years of the Cycle! These homeland vendors are plundering all their
forests!
H.C. 2005 : By the way, what was the predictions of the Royal
Astrologer?
H.M. 2004 : I don't remember and I don't care! But if you
don't trust the Astrologer you may ask the Royal Oxen which will soon perform
the Royal ploughing!
H.C. 2005 : Bullshit! Those oxen don't even have grass to
eat!
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H.C. : His Chickenhood
H.M. : His Monkeyhood
Les paysans recreusent les canaux des Khmers rouges
(2005-Avr-06)
Pascale Trouillaud, Agence France-Presse : Trapeang Kandaol,
Cambodge
Près de trente ans après, des paysans du Cambodge recreusent
les canaux d'irrigation des Khmers rouges, non plus sous la menace de gardes
adolescents vêtus de noir, mais pour gagner des sacs de riz.
«Là vous êtes dans un canal de Pol Pot!»
s'exclame François Ponchaud,
missionnaire français, au volant de son 4x4 qui cahote dans une
travée poussiéreuse, le long de rizières desséchées
de la province de Kompong Cham. À environ 150 km de Phnom Penh,
un canal de 6,5 km a été recreusé. Ici ou là
d'autres canaux ou réservoirs légués par les Khmers
rouges sont aussi approfondis. «On a desservi 12 villages grâce
à ce canal, 400 hectares ont été irrigués»,
se félicite le père Ponchaud, parti du Cambodge peu après
l'entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh le 17 avril 1975, auteur
d'un livre ayant dénoncé le génocide en cours dès
1977, et revenu depuis une quinzaine d'années. Quand il a d'abord
proposé l'idée aux paysans, le chef du village lui a dit:
«Nous on n'en veut pas, c'est l'idéologie du passé»,
explique le prêtre. «Les Cambodgiens
étaient allergiques à tout travail collectif, à cause
du régime khmer rouge», qui a fait près
de deux millions de morts de 1975 à 1979.
Photo AFP |
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Et puis l'idée
a fait son chemin, dans cette campagne où les sécheresses
peuvent être terribles, comme cette année: plus une
goutte d'eau depuis octobre, les épis de riz qui grillent
sur pied. Et désormais les villageois recreusent les canaux et réservoirs
des Khmers rouges, avec des outils aussi rudimentaires. Ils triment en
famille, approfondissant des canaux pour 3 kg de
riz par M3 transporté, creusant des réservoirs de
la taille de piscines olympiques et de 2 mètres de profondeur pour
4 kg de riz. «Je leur dis que j'ai un peu honte de les voir travailler
comme sous les Khmers rouges», dit François Ponchaud.
C'est «un travail de galérien, de forçat, ils transportent
la terre jusqu'à 60 mètres, c'est plein de cailloux»,
ajoute-t-il en regardant un villageois qui casse la terre à la barre
à mine sous la canicule.
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«Je suis content», déclare néanmoins le
paysan au torse ruisselant, San Sok, 57 ans. «Autrefois on travaillait,
ça nous rapportait rien, aujourd'hui on a du riz. Et si on ne travaillait
pas, ils nous tuaient». «Il y a eu beaucoup de morts au creusement
des canaux, le prix humain a été monstrueux: des morts d'épuisement,
d'autres exécutés quand ils ne remplissaient pas leur quota»,
rappelle le père Ponchaud. À Trapeang Kandaol, le chef de
village, Meng Touch, se souvient : «Du temps des Khmers rouges,
il y avait beaucoup de riz, mais nous on ne mangeait que de la soupe de
riz». Une
femme explique avoir gagné 600 kilos de riz, soit 120 dollars, en
creusant la terre depuis trois mois, grâce au programme d'Espace
Cambodge de François Ponchaud, soutenu par l'organisation catholique
Caritas. Dans ces campagnes de monoculture --un riz très
parfumé grand consommateur d'eau-- la seule préoccupation
«c'est d'avoir de l'eau pour les rizières pour survivre»,
explique le prêtre.
Dans les environs du village, partout on voit, courant le long des rizières,
des digues, des diguettes doubles, des canaux –«baray»,
«prek» ou autres «sras»-
aujourd'hui à sec, creusés sous les Khmers rouges, probablement
avec l'aide d'experts chinois. Comme les rois bâtisseurs d'Angkor
au Xe siècle, les hommes de Pol Pot ont eu l'obsession de la maîtrise
des eaux dans ce pays victime d'inondations puis de longues sécheresses.
Avec une main d'oeuvre réduite à l'esclavage et affamée,
ils ont fait de gigantesques travaux hydrauliques, «glorieuses réalisations»
du Kampuchea démocratique, pour produire massivement
du riz, dont beaucoup partait en Chine.
Le premier ministre cambodgien, Hun Sen, ancien cadre khmer rouge lui-même,
est en train de relancer, sans le dire, les travaux d'irrigation khmers
rouges. Il a décrété 2005 année de l'irrigation
et a demandé aux Cambodgiens de recreuser les canaux «anciens».
[Cyberpresse.Ca]
Hun Sèn dragueur (2005-Avr-06)
Où est le recteur ?
Doyen Hun Sèn : Voilà,
mademoiselle, le beau diplôme de notre valeureuse Faculté!
L'étudiante (tout bas : Hem!
C'est pas reconnu à l'Étranger, et ici c'est plein de chômeurs!)
Doyen Hun Sèn : ...Est-ce que
vous avez un plan de carrière?
L'étudiante : Oui! Je voudrais
devenir députée à l'Assemblée nationale!
Doyen Hun Sèn : Dans ce cas,
joignez-vous au PPC! Je vous ferai ma secrétaire particulière!
L'étudiante : Non, merci! J'aurai
peur qu'on me défigure avec un flacon d'acide!
Doyen Hun Sèn : Ha! Ha! Ha!
Vous ne manquez pas d'humour!
Sécheresse : des boeufs seront gâtés
(2005-Avr-03)
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Koh Santepheap : Quel malheur pour les
milliers d'hectares de plantes de paddy de saison sèche (Srov
Praing) qui, après avoir poussé haut et commencent même
de porter grains, deviennent mourantes par suite du manque d'eau d'irrigation,
forçant ainsi les paysans de cinq villages, comme madame Leng Khim,
48 ans, de Prey Sva, commune de Puot Sâ, district de Bati, province
de Takéo, de faire une moisson "à vide" puis attacher ces
plantes en bouquets, et les vendre aux propriétaires de boeufs à
raison de 500 riels par bouquet, somme (4 000 riels = 1 $ U.S.) destinée
aux achats d'engrais et de grains de semence pour la prochaine saison.
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